Ma belle-soeur sodomisée - Histoires de Sexe

Ma belle-soeur sodomisée

Ma femme parle beaucoup, surtout en présence de sa sœur.

— Avec Lucien, cela fait longtemps que nous pratiquons régulièrement la sodomie. Au début, j’étais un peu réticente, mais il m’a convaincue et a fait de moi une convertie. Quand il me prend les fesses, c’est un peu comme si notre amour s’en trouvait sublimé ! Et puis, c’est vraiment très agréable d’avoir quelque chose de gros dans son fondement. Au début cela fait un peu mal mais par la suite c’est très jouissif… Toi, Brigitte, tu n’as jamais essayé ?
— Les seules fois où on me l’a fait, j’ai eu tellement mal que cela ne m’a jamais donné envie de recommencer.
— Oh tu sais, moi c’est pareil, avant de connaître Lucien, je disais la même chose. Mais c’est vrai qu’avec un homme prévenant, quand il te prépare bien, cela change beaucoup de choses. Au fait, où en es-tu avec Thierry ?
— C’n’est pas terrible. Je me demande si l’on ne va pas se séparer. Il me mène une vie pas possible, il me fait scène sur scène. J’ai de plus en plus de mal à le supporter…

J’étais dans la cuisine en train de préparer le dîner mais j’entendais tout de cette conversation complètement ouf, et j’étais vert. Comment ma femme pouvait-elle parler de choses aussi intimes que nos séances d’enculage à sa frangine ?

Quelques mois plus tard, je reçois sur mon portable un coup de fil de ma belle-sœur :

— Que fais-tu à midi ? Je suis dans le quartier des affaires. Je suis toute seule. Cela te dirait de venir déjeuner avec moi ?

Ce n’est ...

... guère dans ses habitudes de me faire ainsi risette. Mais, après tout, pourquoi pas, cela me changera de mes repas entre collègues. Nous nous retrouvons vers midi à la pizza Renato. Ma belle sœur est vraiment en beauté ce jour-là. Elle porte une petite jupette et un petit haut légèrement transparent. À l’approche de la quarantaine, Brigitte a trois ans de plus que mon épouse. Quoique de la même mère, elle ne lui ressemble en rien. Autant Virginie est grande, blonde et élancée, autant Brigitte est petite, rouquine et plutôt potelée. Elle a néanmoins, elle aussi, beaucoup de charme. Confortablement installés dans un petit box, nous discutons en attendant nos pizzas.

— Il y a déjà quelque temps, Virginie m’a dit qu’elle prenait beaucoup de plaisir à ce que tu la sodomises, m’annonce-t-elle de but en blanc.

Elle voit mon air gêné. Elle s’en amuse, un sourire aux lèvres.

— Écoute, je ne vais pas y aller par quatre chemins : j’aimerais que tu m’inities à cette pratique.

Je manque de m’étrangler avec un amuse-gueule.

— Vois ça comme un service que je te demande.
— Mais… mais Virginie ?
— Qui lui dira ? Toi ?
— Mais…
— Tu pourrais passer un soir chez moi après le travail. Thierry m’a quittée, en ce moment je suis seule… Tu me passes juste un petit coup de fil avant pour me prévenir.

Me voyant hésiter :

— Si tu me rends ce petit service, il se pourrait bien que je change d’avis pour la commode…
— Mais c’est du chantage, ça Madame !

Les deux sœurs s’étaient ...