Ma belle-soeur sodomisée - Histoires de Sexe

Ma belle-soeur sodomisée

... disputées à propos d’une commode qu’elles voulaient toutes les deux récupérer.

— Considère plutôt cela comme un échange de bons procédés… Alors, marché conclu ?

J’acquiesce de la tête.

— Faut-il que j’achète des lubrifiants ou d’autres choses comme ça ? On m’a parlé aussi d’un plug anal…
— J’amènerai ce qu’il faut.
— Tu es vraiment un chou.

C’est ainsi qu’il fut décidé que je tromperais ma femme.

— Oui mais analement, rétorqua Brigitte, ce n’est pas vraiment tromper.

Le jeudi suivant, Virginie devait aller le soir à une conférence. Dans l’après-midi, j’ai téléphoné à Brigitte qui était excitée comme une puce à l’idée que c’était déjà le grand soir. Le temps de passer au sex-shop pour acheter un gel lubrifiant ainsi qu’un chapelet de boules anales, je me présente chez ma belle-sœur. Elle ouvre la porte, en peignoir :

— Vas-y, entre vite, il fait froid dehors.

Elle me propose de passer de suite aux choses sérieuses. Elle fait tomber son peignoir et se retrouve complètement nue au beau milieu du salon. C’est une belle petite femme avec des rondeurs harmonieuses. Tandis que je me délecte de ses courbes, elle, plus terre-à-terre, s’installe à quatre pattes sur le sofa.

— Mon cul te plaît, me demande-t-elle sans ambages.
— Il est adorable, il est parfait.

Je m’approche d’elle et caresse un instant ses fesses. Mais, alors que je passe les mains entre ses cuisses :

— S’il te plaît, pour le moment, contente-toi uniquement de mon derrière. Je ...

... voudrais savoir s’il est possible de jouir uniquement de cette façon-là.

Positionné derrière elle, j’entreprends un anulinctus doux et humide en m’attardant longuement sur son petit trou brun.

— Tu sens ma langue sur ton petit trou ?
— Oui, pour le moment c’est agréable.
— Il a déjà été défoncé ?
— Oui, quand j’étais jeune, mais je n’ai jamais eu d’expérience agréable de ce côté… Ce n’est que depuis que Virginie m’en a parlé que j’en ai à nouveau envie.

Je prends la fiole de lubrifiant et en étale largement le long de son sillon anal.

— Humm, c’est un peu froid.

Puis, en prenant soin de bien huiler mes doigts, je rentre lentement en elle. Elle a un instant d’hésitation au moment où sa pastille cède, mais sentant bien que ce n’est pas grand-chose, elle se détend à nouveau. Mes doigts vont et viennent dans son fondement, avec douceur pour ne pas la brusquer. Ma langue prend le relais, puis mes doigts à nouveau. Plus elle sera préparée et plus ce sera facile et plus elle aura une chance d’y prendre réellement du plaisir.

— Pour le moment, tout va bien, dit-elle spontanément.

Je tapote mon gland bien chaud sur son fessier humide.

— Tu sens ma queue qui va te pénétrer.
— Oui… répond-elle avec un peu d’appréhension.
— Détends-toi, ce n’est pas encore pour tout de suite. Tu n’as pas à avoir peur, je vais aller le plus doucement possible.

J’enduis soigneusement ma queue de gel anal avant de la branler à nouveau, cette fois-ci avec plusieurs doigts pour mieux ...