1. Telle est prise…


    Datte: 14/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Arsenne, Source: Hds

    ... sans encore savoir comment, je sors à mon tour ma langue pour l’enrouler autour de la sienne. Le salaud comprend que je cède, qu’il me possède déjà. Serge ne rate rien de cet abandon. Glissé entre mes cuisses qu’il maintient écartées, il me doigte violemment et me lèche le minou. Il sait que j’aime ça et que je perds vite le contrôle de mes sens quand on me doigte le vagin avec violence. En me regardant droit dans les yeux il me dit :
    
    - Ma chérie, mon père va défroisser ton vagin !
    
    Apparemment je n’ai rien à dire. Ce n’est pas moi qui décide comme Serge me l’avait précisé. Je n’ai rien promis, moi ! Aussi sans état d’âme, je tends mon ventre vers sa bouche. Ils peuvent penser ce qu’ils veulent, mais maintenant c’est moi qui mène le bal. J’ai envie de la grosse queue du papa. L’image de « défroisser mon vagin » me fait rire intérieurement. Problème de taille de bite !
    
    La langue de Serge qui dévore la chatte et celle d’Alain dans ma bouche, finissent par me faire jouir une première fois. On bouge et je me retrouve en train de sucer l’énorme matraque de chair comme je peux. Petit à petit je sors de ma léthargie et c’est pour m’apercevoir que je prends du plaisir. Je fais frétiller ma langue dans le méat béant de la grosse bite, arrachant des gémissements à beau-papa. Déjà je savoure les premières gouttes de son liquide séminal. Il est fortement salé, plus que celui de son fils. Alors avec voracité j’enfourne la queue entière dans ma bouche. Le gland vient buter ...
    ... contre ma luette provoquant un réflexe nauséeux. Bien vite je m’accommode et les va et vient de la colonne de chair qui baise ma bouche m’entraînent vers un nouvel orgasme violent qui me fait perdre conscience.
    
    Quand je refais surface c’est pour me rendre compte qu’on me fait mettre à quatre pattes. La queue du papy est encore toute dure et dressée entre mes fesses. L’élastique ! De ses deux mains Alain écarte les deux lobes charnus, ouvre ma chatte et se prépare à me pénétrer avec son énorme queue. Son fils l’encourage, et d’un coup de rein il s’enfonce au fond de mon vagin.
    
    - Vas y bourre la !
    
    - Ouiiii ! Elle est bonne ta femme. Elle est étroite à l’entré et dedans. Sa chatte n’est pas habituée à recevoir une grosse bite. Elles ont beau dire que la taille ne fait rien à l’affaire, tu vois comment elle feule, ta salope !
    
    On vient de passer à un autre registre. L’insulte, l’humiliation. Ce n’est pas pour me déplaire, monsieur ! Surtout qu’il ne doit pas réaliser qu’il parle de la bite de son propre fils ! J’ai parfaitement senti toute la longueur de la bite m’enfiler puis venir en butée contre l’utérus. J’en aurais pleuré de bonheur. Je ne contrôle plus mes gémissements tellement c’est bon ! Serge, en même temps, est passé près de ma tête pour me présenter sa petite bite à sucer. Beau-papa prend son temps pour bien me bourrer. Il arrive à se retenir pour me défoncer sans se presser. Que c’est bon ! Je voudrais que cela ne s’arrête jamais. Les deux cochons ont pris ...
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