Telle est prise…
Datte: 14/04/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
... Abandonnant la queue je me saisis de mon verre de champagne et le vide d’un trait. Pour me donner de l’aplomb. Je ne me reconnais plus. Une voix au fond de moi ne cesse de répéter « arrête, tu es folle ! Ils ont décidé de te baiser. Te faire sauter par le papa de ton mari ». Mais rien n’y fait, comme droguée, je m’abandonne, sans aucune résistance. « Le salaud va me le payer ! ».
Je mesure l’une puis l’autre bite.
C’est Serge qui annonce les mensurations. Alain fait 23 cm sur 7. Serge 18 sur 5. La différence est énorme mais ne me surprend pas. Toujours dans les nuages, je remarque qu’Alain fait glisser un élastique à la base de sa queue, tout près de ses couilles que je constate gonflées comme des oranges. Je reste interdite quand je l’entends dire à mon attention, avec une voix suave qui se veut sensuelle, comme pour me signifier que c’est un cadeau du ciel qu’il se prépare à m’offrir :
- Ça retarde l’éjaculation. Je dure plus longtemps.
Incroyable cette suffisance doublée de cette assurance. Tous les mêmes, les mecs quand il s’agit de faire jouir une femelle ! Avec leur queue. En même temps je réalise que les dés sont jetés. Le beau-père a pris les choses en main et se prépare à me sauter.
Encore incapable de réagir, je sens que ma volonté de refuser s’amenuise. J’en suis à me dire que c’est leur désir et qu’on en finisse le plus rapidement possible. Et puis ce n’est pas « mon » papa. Et puis, je dois avouer que les ondes de plaisir que je ressens dans tout ...
... le corps ne sont pas sans relation avec la situation qui commence singulièrement à m’exciter. J’ai bien conscience que c’est une autre femme en moi qui se sent l’envie de profiter de la situation. Je suis assez lucide cependant pour le cacher à ces deux mufles, car en fait j’ai en pleine conscience, décidé de jouer le rôle de victime, ce qui me dédouanera des événements à venir. On ne pourra me faire aucun reproche. J’ai vraiment envie de me faire baiser par cette énorme bite !
La queue d’Alain est congestionnée comme prête à exploser. Alors, tout s’enchaîne. On me prend par les épaules, me lève et docile, je les suis dans notre chambre. On m’allonge sur le lit, sur le dos, nue et sans attendre, Alain s’acharne sur mes seins. Je résiste peu, impossible de refuser la caresse. Mes pointes sont dressées par l’excitation. Je suis bien loin du « mater n’est pas un péché » !
Assis à mes côtés, il cherche à m’embrasser. Je ne veux pas, je détourne la tête. Ça non ! Mais fermement il saisit mon visage et approche mes lèvres des siennes. Je sens sa langue tenter de pénétrer ma bouche. Je me crispe, mais bientôt sous l’effet du plaisir, je cède et mes lèvres s’écartent pour laisser sa langue fouiller ma bouche. Le baiser est torride, son organe est volumineux. Je sens la pointe chercher à aller le plus dans le fond de ma bouche. En même temps il me caresse toujours les seins et je sens qu’il frotte son braquement contre ma cuisse. J’étouffe mais le plaisir devient plus fort. Alors ...