Telle est prise…
Datte: 14/04/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
... je comprends là combien ça le préoccupe. Dépitée, je finis, de guerre lasse, par accepter.
Le jour venu, Serge assiste et participe à mon habillage. Il est tout excité, je m’en rends compte à la bosse sur son pantalon.
Robe d’été en fin coton avec décolleté profond et généreux en haut, flottante et courte sur mes jambes nues en bas, avec une mince ceinture de cuir. Il me fait mettre des sandales légères sans talons, maintenues par de fines lanières qui laissent mes pieds nus… Serge trouve que la démarche sans talon, le pied bien à plat, contrairement à celle induite par des très hauts talons, qu’il trouve trop « pute », s’accompagne d’un déhanchement plus érotique et souligne le galbe du mollet au dessus des chevilles quand elles sont fines. C’est mon cas. En plus il prétend que cela nous fait prendre une allure altière, le front haut et le mépris dans le regard. Ç’est son idée !
Dessous ? Pas de soutien gorge, bien sûr et un string qui laisse mes rondeurs fessières nues. Evidemment, mes tétons pointent de façon arrogante au travers du fin tissu de la robe, favorisé par le frottement. Mais bon ! Le fait est que je me sens belle et sexy. Et puis, bof, mater n’est pas un péché.
- Tu n’as pas l’impression de me livrer à ton père ?
- Mais non ma chérie. Et de toute manière c’est toi qui décide jusqu’où aller !
- Encore heureux ! Il n’est pas question qu’il me touche.
En vérité, et je me garde bien de lui en faire part, cette idée me chatouille le bas du ...
... ventre. Mon fantasme de grosse bite resurgit, et mon mari me l’offre sur un plateau. J’ai toujours été persuadée que celle de mon mari n’avait rien d’exceptionnel.
Pile à l’heure, Alain se présente avec un énorme bouquet de fleurs de toutes les couleurs, un gâteau et deux bouteilles d’un bon champagne. Le coquin, il sait combien j’aime les fleurs… et le champagne. J’avoue que de mon côté, j’ai mis tout mon cœur à lui préparer un bon repas. Mon chéri a vite compris que j’étais séduite. Avant de passer à table on s’installe au salon pour l’apéritif.
A peine installés sur le canapé, le papa en face de nous dans un fauteuil, nous échangeons des banalités sur notre société et ses dérives de liberté… et de libertinage ! Le beau-père se régale les yeux, avec élégance et discrétion. La gêne ressentie s’efface doucement au rythme des verres de champagne. Je me sens bien, un peu pompette, tout en restant toutefois vigilante. Il faut dire que mes pointes, pointent ! Tient ! Mes jambes sont découvertes…
Quand je me lève pour aller chercher des amuse-gueules chauds, mon mari me suit dans la cuisine. Il se glisse derrière moi, relève le bas de ma robe et veut m’enlever ma culotte. Choquée, je résiste et refuse. Il abandonne.
De retour au salon, je me rends compte qu’il fait la gueule ! C’est souvent le cas, quand je lui refuse un caprice de cet ordre. Son père, toujours aimable, semble avoir pris ma défense et cela me touche. C’est vraiment un galant homme.
Serge me suit à ...