1. Luce, bourgeoise adultérine malgré elle (1)


    Datte: 12/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Reveevasion, Source: Hds

    ... volontairement de lui dire que d'habitude on devait en enduire le spéculum et non pas le vagin.
    
    - Faites le nécessaire murmura Luce qui, effarée, ne retenait que les mots de pénétration et de lubrifiant.
    
    Régis enfonça ses doigts plus fermement en elle et Luce accueillit cette intrusion avec un cri de douleur en tendant la main pour arrêter le poignet du médecin. Il la repoussa sans rien dire et elle dut accepter les attouchements malicieux de Régis sur les parois de son vagin dont les réactions des muqueuses contredisaient les retenues affichées par la patiente. La viscosité du lubrifiant que les doigts en fouillant son vagin étalaient sur les chairs se mêlait à celle des sécrétions bien involontaires mais révélatrices d'un trouble féminin annoncé. .
    
    - Calmez vous madame Saint-Sauveur, tout se passe bien et il ajouta et même très bien en pensant aux hommes qui aimeraient découvrir chez une femme de quarante ans un réceptacle aussi étroit pour leurs assauts.
    
    Lorsque le métal du spéculum remplaça les doigts, elle poussa un cri de frayeur :
    
    - Ah ! Que c'est froid, c'est…. c'est… horrible ! Régis.
    
    - Allons! Allons! ne faites pas l'enfant, et il lui empoigna fermement les mains qui se précipitaient pour arrêter la progression de l'instrument, agrippez-vous au fauteuil.
    
    Elle sentit le spéculum s'ouvrir dans son vagin et cette présence incongrue la portait au supplice. Le docteur muni d'une lampe frontale se pencha entre ses cuisses pendant un temps ...
    ... qui lui parut interminable. En se relevant avec un murmure de satisfaction, il lui assura que tout allait bien et il la débarrassa de l'intrusion du spéculum.
    
    - Voilà c'est fini, presque fini.
    
    Afin de prolonger ces instants délicieux pour lui, il prétexta un dernier toucher digital pour passer une solution antiseptique.
    
    Presque soulagée, elle acquiesça d'un battement de paupière.
    
    Cette fois il se permit en plongeant son majeur dénudé dans son vagin une audace qu'il n'aurait jamais envisagée auparavant.
    
    - Mais Régis vous n'avez pas mis de gants ? osa-t-elle affolée.
    
    - La solution ne tient pas sur le caoutchouc, s'excusa-t-il effrontément. Et encouragé par sa naiveté, il appuya son pouce sur le bouton de Luce qui se durcit instantanément.
    
    Elle échappa un petit gémissement non maîtrisé. Il la regarda qui basculait son visage en arrière en fermant les yeux. Ses doigts se crispèrent sur la serviette mais elle ne protesta pas, en se concentrant plutôt sur cette petite flamme qu'elle sentait naissante au plus profond de ses chairs et qu'elle aurait voulu chasser alors qu'elle n'arrivait pas à la contenir. Il prit son temps pour simuler le geste médical et sentit le flot de cyprine inonder le vagin, alors que Luce se cambrait comme un arc, le corps tétanisé. Il préféra arrêter son investigation digitale et se releva pour s'approcher de sa patiente. Elle était cramoisie et peinait à respirer.
    
    - Vous n'avez rien d'anormal au niveau gynécologique madame ...