Le Con, la Brune et l'Étudiant
Datte: 12/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
hplusag,
jalousie,
double,
fsodo,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... vernissais mes ongles de pied, en rouge carmin, couleur choisie par Gilles. À sa demande, j’avais aussi taillé ma toison. Il la trouvait trop épaisse. Une fois apprêtée, je m’examinais dans la glace de la salle de bains avant de le rejoindre, et j’aimais ce que je voyais. Je n’étais plus lycéenne ou étudiante. Il avait fait de moi une femme, à l’intérieur, à l’extérieur. Les sandales à talons hauts allongeaient mes jambes à peine masquées par une mini-jupe, creusaient mes reins, faisaient saillir mes fesses. Le vernis qui clignotait au bout de mes pieds, ma chaîne de cheville et ma bague de doigt de pied ajoutaient une note « salope » au tableau. Il m’avait expliqué que ce mot n’a pas toujours une connotation péjorative, que c’est un hommage rendu à une femme qui aime faire l’amour.
Je l’avais cru. Je croyais tout ce que Gilles me disait. En classe, j’avais toujours été bonne élève. Avec lui aussi, je l’étais. Dans une autre matière, mais avec la même conviction, et les mêmes satisfactions qui me donnaient envie d’aller encore plus loin. En classe, c’était des notes. Avec Gilles, c’était le plaisir. Non seulement il m’avait appris que je n’étais pas frigide, mais il me faisait aussi monter au ciel à chaque fois. Je ne sais pas l’expliquer, aujourd’hui encore. J’avais une totale confiance en lui, et même de l’admiration pour son savoir sexuel, puisque tout ce qu’il m’avait dit lors de notre première discussion dans sa voiture s’était avéré. Je faisais ce qu’il me ...
... demandait, grimpais quatre à quatre les échelons de la sexualité : les pipes, le faire jouir avec mes pieds, les mots crus pendant l’amour.
La sodomie, je ne voulais pas. Je lui ai dit que je m’étais promis de garder cette virginité pour mon futur mari. Il m’a répondu qu’il respecterait ce vœu, mais que l’anus était une zone érogène, et s’est proposé de me l’enseigner, rien qu’avec des caresses. Il m’a mise à genoux sur le lit, a écarté mes fesses, posé sa langue sur mon anus. Dix minutes plus tard, je le suppliai de me sodomiser. Tant pis pour mon futur mari, la démangeaison était trop forte… La semaine suivante, quand je suis revenue, Gilles m’a offert un plug, en m’expliquant à quoi ça servait.
Rien ne me choquait avec lui. Il disait que les préjugés bourgeois entravaient la sensualité des femmes, qu’en amour rien n’est sale du moment qu’on y prend du plaisir. Et comme du plaisir, il m’en donnait beaucoup, je pensais qu’il avait raison et acceptai l’étape suivante. Mais dès que je quittais l’appartement de son copain, pendant une semaine, je redevenais lycéenne ou étudiante. Aucune incidence sur le reste de ma vie : la clandestinité de nos rendez-vous dans un lieu clos préservait tout débordement. Je n’avais aucune gêne à faire la bise à Sylvie quand je revenais chez eux garder leur fils. J’y allais désormais à chaque fois en bus pour que Gilles me ramène et me fasse jouir en me caressant dans sa voiture. Comme il me disait que ça lui donnait envie de faire l’amour à sa femme ...