Le Con, la Brune et l'Étudiant
Datte: 12/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
hplusag,
jalousie,
double,
fsodo,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... une fois revenu dans leur appartement, j’avais le sentiment de ne rien prendre à Sylvie.
De mon côté, j’ai eu quelques petits copains, pour faire comme mes amies, meubler le reste de la semaine. Ce n’est pas drôle d’être la fille qui dit toujours non dans une soirée. Physiquement, je n’attendais rien d’eux. J’ouvrais les jambes et attendais qu’ils aient fini. Pendant l’amour, Gilles me faisait que je lui appartenais. À force de le répéter, et de jouir avec lui, j’en étais convaincue. J’ai fini par faire un pacte avec un garçon. Il était homosexuel, mais le cachait. En public, on se comportait comme un couple. Au lit, on ne se touchait pas, même quand on passait la nuit ensemble.
Amorale ? Je ne crois pas. J’étais dépassée. C’était trop pour moi, mais je ne m’en rendais pas compte : Gilles me faisait vivre une sexualité de femme alors que j’avais 17 ans. J’en avais perdu tous mes repères. Je ne savais plus ce qui était bien ou mal.
Manipulateur, lui ? Je ne crois pas non plus. Peut-être que ça m’arrange de penser ça. Pour qu’il y ait un manipulateur, il faut qu’il y ait une manipulée, et ça serait encore plus difficile pour moi aujourd’hui si j’admettais l’avoir été. Mais, sincèrement, je ne lui en veux pas, même s’il a saccagé ma vie. Lui aussi, il a été dépassé. Ça doit être grisant pour un homme de son âge de former sexuellement une fille de 17 ans, de la rendre docile et sensuelle. Il était sans doute sincère quand il disait qu’il faisait ça pour mon bien. Il ne ...
... se rendait pas compte du mal qu’il me faisait. Et j’ai ma part de responsabilité. On était dans une spirale ascendante, tous les deux. L’amour entre les seins, on a essayé, comme tout le reste. Sans succès. Je n’avais pas la taille requise. Il m’avait dit qu’un jour, il faudrait que je me fasse refaire les seins, pour gagner en volume. J’avais trouvé que c’était une bonne idée. Voilà où j’en étais…
Mais il n’était pas pervers. Quelque part, il me respectait. Jamais il n’a éjaculé sur mon visage, comme ça se fait dans les films pornos. Et quand je l’ai quitté pour Xavier, il l’a accepté, sans chercher à me retenir. Ça lui aurait été pourtant facile, puisqu’il me tenait physiquement.
Mais j’anticipe. Avant, il y a eu un week-end sur la côte. C’était la première fois que je pouvais l’embrasser au grand jour, sortir avec lui au restaurant ou en boîte, me frotter contre lui sur la plage, dormir avec lui. Et faire autant l’amour, deux jours de suite. Ça m’a donné le tournis. Pour être honnête, j’y avais pensé avant. Quand il m’avait sodomisée pour la première fois, juste après sa jouissance, je lui avais dit des mots d’amour. J’étais émue : la douleur, la perte de ma dernière virginité. Ils étaient sortis tout seuls. Ensuite, j’ai continué à lui en dire, mais toujours après l’orgasme : furtivement. Je trouvais que ça allait en harmonie avec le plaisir. Une manière de le remercier, aussi. C’est long, c’est alambiqué de dire « j’aime le plaisir que tu m’as donné ». « Je t’aime ...