Le Con, la Brune et l'Étudiant
Datte: 12/04/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
hplusag,
jalousie,
double,
fsodo,
Auteur: Xavier2, Source: Revebebe
... ne regardait qu’elle. Il leur tardait visiblement que je m’en aille pour se jeter dans leur lit. Je suis partie contente pour eux, pour Sylvie surtout, en me disant qu’un jour je serai comme elle.
La semaine suivante, vacances de Pâques. C’est Gilles qui a appelé pour que je vienne garder Patrick. D’habitude, c’est Sylvie. Mais je n’y ai pas prêté attention. Je suis allée chez eux à vélo, pour la même raison que la fois passée. Gilles m’a ouvert. J’ai trouvé curieux qu’il soit en chemise, et pieds nus. Tout de suite, il me dit que nous sommes seuls, que Sylvie passe la semaine chez ses parents, avec Patrick. Il m’embrasse. Ses lèvres ont le même goût que dans la voiture quinze jours plus tôt. Je le suis quand il m’emmène dans la chambre.
C’est plus lent qu’avec les autres, plus méthodique aussi. Son corps est plus lourd, plus dense. Un corps d’homme. Il embrasse longuement, en étire la pointe avec ses lèvres et ses dents, passant de l’un à l’autre. Je ferme les yeux pour oublier où je suis, et avec qui. Je commence à frissonner, à cambrer mes reins pour avancer mes seins vers sa bouche, à sentir des fourmillements dans mon vagin. Je veux le retenir quand sa bouche descend sur mon ventre, puis plus bas. Je ne veux rester seule, je veux qu’il reste dans mes bras. Il éteint la lumière, me dit de me laisser faire et de ne penser à rien. Sa langue est précise, se pose exactement là où il faut, insiste. Je mets une main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Je ne me ...
... sens pas partir tellement c’est doux. Un tressautement du corps, un petit cri, le relâchement, une sorte de plénitude. Je l’attire sur moi. J’ai besoin de sentir sa chaleur, son poids, de le serrer dans mes bras, d’embrasser sa peau. Son sexe est dur sur mon ventre. J’écarte les jambes. J’ai envie, je suis prête.
Dès qu’il me pénètre, je sais que je vais y arriver. Son corps pèse sur le mien, son sexe me remplit. Il va paisiblement en moi, régulièrement, comme s’il avait l’assurance de me faire jouir. J’enfouis ma tête dans le creux de son épaule, en sentant grossir une boule de plaisir en moi. Elle grossit, grossit, et explose, partout. Une déflagration, jusqu’au bout des doigts de mes pieds. Et d’autres encore, comme une houle qui revient et agite mon corps. C’est beaucoup plus fort qu’avec sa bouche, moins localisé. Violent même. Là, j’ai crié, vraiment. Et la houle s’apaise, progressivement. Des vagues de plus petites amplitudes, toutes gentilles à la fin. Je me relâche. Les muscles de mes bras me font mal, tant j’ai serré Gilles pendant le plaisir. J’écarte les jambes encore plus, les noue autour de ses reins. Je veux l’aspirer au plus profond de moi, m’ouvrir pour lui, pour lui rendre le plaisir qu’il m’a donné. Quand il jouit, je suis heureuse de penser à son sperme qui inonde mon vagin. Il prononce une courte phrase, que je n’ai jamais oubliée :
— Ça y est, tu es une femme, maintenant. Une vraie femme.
Là, je réalise. Et j’éclate en larmes. Le contrecoup du ...