1. Les visites d'Annie


    Datte: 11/04/2021, Catégories: fh, jeunes, extracon, amour, jalousie, Masturbation pénétratio, init, journal, prememois, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... beau-frère.
    
    Oh ! Ils ne me dérangent pas ! Ils peuvent rester si ça les chante, ce n’est pas ça qui va m’empêcher de faire l’amour. Non, de baiser Annie, car ce n’est pas l’amour ce qui me dirige en cet instant, mais une pure bestialité. Il doit en être de même pour elle qui miaule comme une chatte en rut. Malgré ma rancœur, je succombe au plaisir, plaisir divin, incomparable. La douceur du vagin enveloppe la verge d’une étreinte onctueuse. Les ondes provoquées irradient depuis mon bas ventre dans tout le corps. Je sens mes poils qui se hérissent. Je dois être recouvert de chair de poule… Aah !… Mes nombreuses masturbations, même la caresse d’Annie dans le parc ne m’ont pas apportés le dixième, que dis-je, le centième du plaisir que toutes les fibres de mon corps ressentent. Vive l’amour qui est capable d’apporter un tel bonheur !
    
    Annie aussi s’abandonne à la jouissance. Elle lance ses fesses contre mon ventre à chaque pénétration. Ses gémissements s’amplifient, ce n’est pas de la comédie. La fierté du mâle dominant décuple mon énergie. Jamais je n’avais résisté aussi longtemps. Je craignais l’éjaculation précoce, vu la rapidité à laquelle mes caresses me mènent à la conclusion. Je suis soulagé de constater qu’il n’en est rien. J’aimerais que ces moments de pure jouissance durent éternellement…
    
    Même les bonnes choses ont une fin. Je sens la semence monter inexorablement dans la tige. Malgré mes efforts pour la maintenir et poursuivre ma chevauchée, elle jaillit ...
    ... en de multiples soubresauts de la verge, arrachant à Annie un cri perçant et un frémissement de tout le corps…
    
    Je redescends doucement sur terre et avec le retour à la réalité, ma rancœur refait surface. Je m’écarte de la jeune fille affalée, haletante, une trainée de sperme coulant le long de la cuisse. Comment ai-je pu qualifier son abandon de « splendide impudeur » tout à l’heure ? Elle me dégoûte maintenant. J’essuie ma queue au-dessus de lit. Tiens ? Je n’ai absolument pas mal ! Je croyais que perdre son pucelage était douloureux.
    
    — Mon chéri, murmure-t-elle, je suis heureuse.
    
    C’est le comble ! Elle se fait baiser par mon beau-frère et elle me joue la comédie de l’amour !
    
    — Espèce de trainée !
    — Co… Comment ? Qu’est-ce que tu as dit ?
    — Tu as bien compris, tu es une trainée, une putain qui se fait baiser par le premier venu !
    
    La colère m’aveugle, je poursuis indifférent aux larmes qui jaillissent de ses yeux :
    
    — Fiche le camp ! Je ne veux plus te voir !
    
    Elle se redresse piquée au vif.
    
    — C’est vraiment ce que tu veux ?
    — Oh oui ! Du vent ! Du balai ! Ouste !
    
    Elle se lève et se dirige vers la porte.
    
    — Où tu vas ?
    — Qu’est-ce que t’en as à foutre ! réplique-t-elle.
    
    Je baisse la tête.
    
    — Je vais dans ta chambre m’habiller, tu es content ? Après tu me verras plus, promis !
    
    Je patiente un bon quart d’heure assis sur un fauteuil et ne quitte la chambre que lorsque je suis certain de ne pas la rencontrer. Je dois affronter les regards ...
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