Les visites d'Annie
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
amour,
jalousie,
Masturbation
pénétratio,
init,
journal,
prememois,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... assuré que tu serais d’accord. J’ai mal fait ?
— Non, non pas du tout !
— De rien… Je lui ai donné rendez-vous pour après demain, car demain elle ne peut pas venir. J’espère que cela ne contrarie pas tes projets.
— Au contraire, je te remercie.
oooOOOooo
Nous révisons un chapitre difficile. Surtout pour moi car je n’arrive pas à débarrasser mon esprit des pensées lubriques qui m’assiègent dès que je suis à côté d’Annie. Tout à coup la porte s’ouvre sur Lucie dénudée.
— Jean ! Il faut que t’aille chercher de l’eau minérale.
— Lucie ! Voyons ! Je t’avais demandé de faire attention !
— À quoi ? Oh ! A ça ?
Elle fait semblant d’effacer une poussière sur ses seins fièrement dressés.
— Excuse-moi, j’ai oublié.
Je n’en crois pas un mot. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès pour embêter Annie qu’elle semble ne pas porter dans son cœur.
— Je n’ai pas fini de réviser. Tu ne peux pas demander à Jacques ?
— Il n’est pas encore rentré. Ton père en a besoin, ne tarde pas.
— Vas-y, Jean, propose ma copine, nous terminerons après.
— Merci, mademoiselle, admet Lucie.
Annie fixe le battant qui se referme.
— T’as vu ? Elle… Elle est toute nue !
— Euh… Oui. C’est une habitude que nous avons à la maison. Dès que nous rentrons nous nous déshabillons. Je leur avais demandé de ne pas le faire par égard pour toi. Cette sotte m’a désobéi.
— Oh ça me dérange pas… Alors, quand tu travailles dans ta chambre, tu es tout nu ?
— Oui, dans ma chambre et le reste de la ...
... maison, sauf en hiver où nous passons une robe de chambre.
— C’est pas gênant ?
— Non, c’est naturel pour nous et je dois avouer que ça me manque.
— Pourquoi tu te déshabilles pas alors ?
— Là ? Maintenant ?
— Ben oui puisque tu dis que c’est naturel.
— Euh… Je ne voudrais pas te choquer.
— S’il te plaît… Ah oui, c’est vrai, tu dois sortir. Promets-moi que tu te déshabilleras à ton retour.
— Tu veux… vraiment ?
— Oui et pour te le prouver je vais faire comme tout le monde.
Annie dégrafe sa jupe qu’elle plie sur une chaise. J’assiste ravi à son strip-tease, maladroit certes, mais tellement émouvant. Après avoir ôté le dernier dessous, elle tourne sur elle-même.
— Tu me trouves jolie ?
— Tu es merveilleuse !
Je veux l’enlacer, elle se dérobe en riant.
— Vas vite faire la course pour ton père, je t’attends.
Elle tient à m’accompagner jusqu’à la porte d’entrée. Nous croisons Jacques qui revient du travail. Il sourit de toutes ses dents :
— Je vois avec plaisir, Jean, que ton invitée adopte les usages en cours dans cette maison.
— Je ne voulais plus me singulariser, explique Annie.
— Soyez-en remerciée. N’est-ce pas, Antoine ? lance-t-il à l’adresse de mon père que la bonne pousse dans le vestibule.
Lui aussi est nu comme lorsqu’il n’y a pas d’étranger à la maison. Ma parole, Lucie et lui se sont donnés le mot ! Je vais leur reprocher, mais je me tais, ils ont eu raison puisque cela me vaut le plaisir d’admirer ma copine dans toute sa splendeur.
— ...