Les visites d'Annie
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
amour,
jalousie,
Masturbation
pénétratio,
init,
journal,
prememois,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
Résumé : Jean a embrassé Annie lors des noces de sa sœur. Il aurait peut-être eu le courage d’aller plus loin si son beau-frère ne s’en était mêlé…
Le mariage de Chloé a peu changé notre vie de tous les jours, simplement Jacques est présent à la maison toute la semaine au lieu des seuls week-ends. Leurs horaires de travail sont décalés. Il part tôt le matin et rentre en milieu d’après-midi, tandis que ma sœur travaille souvent tard le soir, mais commence rarement avant midi. Moi, ça dépend, tantôt j’ai cours le matin et pas l’après-midi, tantôt le contraire et, une ou deux fois par semaine, toute la journée.
J’ai ainsi rapidement constaté que d’être mariée n’a pas changé les mauvaises habitudes de Chloé. Un beau matin de la semaine suivant leur retour de voyage de noce, on sonne à la porte.
— J’y vais ! C’est pour moi !
Ma sœur déboule dans le vestibule un déshabillé à moitié enfilé sur le corps. Elle fait entrer un homme tout étonné de nous découvrir nus.
— Ne restons pas là !
Elle s’enferme avec lui dans sa chambre. Je regarde Lucie. Elle soupire et soulève les épaules en un geste d’impuissance. Papa lève les yeux au ciel.
— Pau…pau…pauvre…vre… Ja..Ja…Ja…a…a…
Le reste ne sort pas, perdu dans les méandres de son cerveau détérioré. Oui, pauvre Jacques, il ne mérite pas ça !
Tromper son mari ne traumatise pas ma sœur. Quand elle rentre le soir, elle se jette sur lui comme si elle était sevrée de sexe, alors que dans la matinée le couloir ...
... retentissait des gémissements qu’elle proférait dans les bras d’un de ses nombreux amants. Ils s’embrassent sans se cacher et il n’attend pas d’être seul avec elle pour la déshabiller. Lucie doit ramasser les vêtements épars sur le chemin de la chambre.
Oui, pauvre Jacques ! Tu es cocu et tu donnes raison à la chanson qui prétend que les cocus sont contents. Sa jovialité, quand il rentre du boulot dans l’après-midi, fait plaisir à voir. Dès qu’il s’est dévêtu et mis à l’aise, il vient dire bonjour. Lorsque je suis présent, il commence toujours par moi, câline au passage les fesses de Lucie et salue mon père. Souvent il l’invite à venir dans la pièce qui lui sert de bureau :
— Venez, Antoine, je vais vous montrer quelque chose qui vous plaira… Toi aussi, Lucie.
Elle n’a pas l’air convaincue, mais pousse le paternel à la suite de Jacques. La porte se referme sur eux. Je suis satisfait, Papa et lui s’entendent à merveille. En cela au moins le mariage de ma sœur a du bon.
J’ai retrouvé Annie à l’université. Malgré mon insistance, elle ne veut pas que nous nous affichions ensemble. Elle ne m’autorise à l’approcher que lorsqu’elle est persuadée que personne ne nous espionne. Là, dans un coin isolé, je peux l’enlacer. Nous échangeons des baisers brûlants, mais elle repousse mes caresses. Elle a rougit quand je lui ai susurré que je n’avais pas raccommodé ma poche, mais n’en a pas profité. Elle n’a pas reparlé de venir à la maison et je n’ose le lui rappeler. Jacques me le reproche ...