Les visites d'Annie
Datte: 11/04/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
extracon,
amour,
jalousie,
Masturbation
pénétratio,
init,
journal,
prememois,
Auteur: Cidoup, Source: Revebebe
... réviser à la maison ?
— Tu me demandes de revenir ? Tu crains pas que ton beau-frère… euh… nous gêne ?
— Il ne nous a pas gênés pour travailler hier. Est-ce qu’on a pas bien travaillé, toi et moi ?
— Euh… travaillé… Oui, oui, on a bien travaillé.
— Tu acceptes ?
— Ça te ferait tant plaisir ?
— Oh oui !
— Dans ces conditions je veux bien revenir.
Je regarde à gauche et à droite. Personne, j’enlace ma copine.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Nous sommes seuls, embrasse-moi !
Elle me tend les lèvres avec un sourire…
oooOOOooo
Elle est revenue, nous avons bien travaillé. Cette fois, les cahiers fermés, je la prends dans mes bras, nos bouches se joignent, nos langues s’emmêlent…
Nous basculons sur le lit. Sa jupe remonte sur la cuisse. La tentation est trop forte, je pose la main au-dessus du genou et caresse la peau nue. Elle gémit faiblement. Cela me rend mes esprits. Non, ce n’est pas bien, je ne dois pas profiter d’un instant d’égarement, Annie me le reprocherait. Je me lève précipitamment.
— Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m’a pris.
Elle me regarde l’air étonné. Elle m’en veut de l’avoir forcée à subir la caresse. Pourvu qu’elle accepte de revenir ! Avec un soupir elle s’assied sur le lit et rabaisse sa jupe.
— Je te raccompagne chez toi ?
— Si tu veux.
Dans le vestibule nous rencontrons Papa et Lucie.
— J…Jean s’il-il te plaît… tu… tu… tu…
— Ton père voudrait que tu nous aides à remettre une étagère, traduit Lucie.
— Tout de suite ...
... ?
— Ou…ou…ou…oui.
— Mais je dois raccompagner Annie.
— Ça me dérange pas d’attendre le bus, propose celle-ci.
— Pas question ! intervient Jacques qui sort de sa chambre. Tu peux aider ton père Jean, je m’occupe de ta copine.
— Ça te dérange pas ?
— Pas du tout, je devais sortir de toute façon. Puis, rendre service à une aussi jolie fille c’est un plaisir qui ne se refuse pas !
— Vous me faites rougir, déclare Annie qui, effectivement, s’empourpre.
— Vous n’en êtes que plus charmante. Alors vous acceptez ?
Elle m’interroge du regard. Je l’encourage d’un hochement de tête.
— Puisque Jean est d’accord, il m’est difficile de dire non, admet-elle.
— Hé bien allons-y !
Prenant son bras, il entraîne la jeune fille sans me laisser le temps de l’embrasser. J’envie mon beau-frère et son aisance avec les femmes. J’aimerais pouvoir en faire autant, mais ma timidité me paralyse. Je jette un coup d’œil dehors en entendant l’auto sortir du garage. Elle tourne dans le mauvais sens. Jacques va sûrement faire sa course avant de raccompagner Annie chez elle…
Il rentre deux bonnes heures plus tard l’air béat. Il est visiblement satisfait de ses achats.
— Qu’est-ce que tu as fait tout ce temps ? Tu as bien ramené Annie chez elle ? J’ai vu que tu ne prenais pas le chemin de la ville.
— Oui, oui, ne te fais pas de soucis, elle est arrivée à bon port. Au fait, en l’a quittant, je lui ai proposé de revenir pour… euh… étudier avec toi. Elle n’osait pas accepter, mais je lui ai ...