1. La déposition de Lay O'Neel (3)


    Datte: 11/04/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Lewis Lestrange, Source: Xstory

    ... est fallu d’un cheveu, et confirme. Le flic reprend.
    
    — Vous avez réfléchi, et ?
    
    — Quand on s’est retrouvés, on devait partir ensemble sur une plage de Bretagne. Mais je lui ai posé des conditions.
    
    — Dites.
    
    — La semaine +1/j.
    
    — Plus un sur ji ? Comment cela ?
    
    — Le principe est très simple. Le lundi, je me tape un mec. Le mardi, deux. Le mercredi, trois, etc.
    
    — Le dimanche, sept.
    
    — Sept.
    
    — En même temps ?, demande le flic, pâlichon.
    
    — Selon mon humeur. Mais pourquoi pas. Cela faisait un mois, presque, que j’avais essayé la double péné, avec Paul dans le cul et Milo dans la chatte. J’avais tellement joui qu’ils avaient éjaculé en même temps. On avait dégueulassé tout le canapé, d’une force... Et je me souviens, Léonie était là, elle m’avait dit : « Attends de t’en prendre deux dans le cul, tu vas comprendre ! » Cette pute !
    
    — Et Paul était d’accord ?
    
    Lay hésite. Elle regarde le flic. Le flic la regarde.
    
    — J’ai compris, dit le flic.
    
    — Compris quoi ?
    
    — Il était trop sûr de lui.
    
    — Exact.
    
    — Il a cru qu’il serait le premier.
    
    — Et surtout, il a cru qu’il serait là tous les jours.
    
    — Mais vous l’avez écarté.
    
    — Même vous, vous avez compris. Ne me dites pas qu’il n’y a pas pensé, lui.
    
    — Racontez-moi.
    
    — Est-ce bien nécessaire ?
    
    — Je vous le demande.
    
    — Bon. Donc, nous sommes arrivés en Bretagne le samedi. J’ai balisé le terrain. Je savais qu’avec mon physique, je pouvais me taper toute la plage si je voulais, mais ...
    ... j’avais décidé de choisir des vrais bons nullos, prétentieux, merdiques, cons à manger du foin. Les plus bas du lot. Des rappeurs. Des footeux. Des merdes qui n’auraient jamais l’occasion de baiser une fille comme moi, avec des seins comme ça et un cul comme ça, dans leur vie entière. J’ai obligé Paul à deux jours d’abstinence, samedi et dimanche. Lundi, je l’ai baisé lui. Mardi, je l’ai baisé le matin, et un autre mec dans l’après-midi. Mercredi, j’ai baisé le même clampin le matin, et puis je l’ai jeté. Je me suis tapé un serveur de restau dans l’après-midi. Le soir, avant de dormir, j’ai baisé avec Paul. Jeudi, au réveil, j’ai baisé Paul le matin sous la douche. Notez bien ce détail. Un peu plus tard dans la matinée, j’ai conduit mon clampin de mardi et mon serveur de restau dans la chambre et ils m’ont DP.
    
    — DP ?
    
    — Double péné. Un dans la chatte, un dans le cul. Et je me suis envoyé le gérant de l’hôtel en milieu d’après-midi. Et c’est à ce moment-là que ça s’est gâté. Parce qu’à partir de là, j’enchaînais les partouzes dans la chambre, mais sans Paul. Vendredi, je me suis lancée dans la première triple de ma vie. Trois mecs en même temps. Le soir, une bonne DP. Le gérant de l’hôtel laissait faire, puisqu’il s’occupait de mon cul. Samedi matin, j’ai fait fort : cinq mecs d’un coup.
    
    — Paul participait ?
    
    — Vous déconnez ? Je voulais le rendre dingue. Depuis le jeudi matin, j’avais pris mon pied dix, quinze fois, avec au moins dix mecs différents. Et sans lui. Lui, ...