1. Pute vingt ans après


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    ... passionnant. Je pensais qu'Armand pourrait me renseigner
    
    dessus et guider davantage. Cette perspective l'amusa lui qui avait été
    
    un cancre notoire et que l'école rebutait toujours. Ce jour-là
    
    j’arborais une minijupe minimale.
    
    Je ne l'avais pas porté à dessein pour lui. Il faisait chaud en cet été.
    
    C’était de toute façon la mode chez les gamines de mon âge. Ainsi
    
    vins-je à lui juchée sur mes mules à talons hauts. Un chemisier laissant
    
    paraître la forme des nichons que je savais beaux et si irrésistibles.
    
    Jamais n'avais -je soutenu une conversation si longue et en intimité
    
    avec cet homme. Mes parents étaient absents cette après-midi-là. Le
    
    bruit mignon et monotone d'un jet d'eau nous rendaient enclin à une
    
    incertaine indolence et un sûr abandon. Tout me soufflait que cette vie
    
    était belle et emplie de promesses.
    
    Armand aujourd'hui me signifiât que durant notre conversation je n'avais
    
    eu de cesse d'écarter les cuisses et de lui offrir le spectacle d'une
    
    culotte dont il pouvait s'aviser à moyenne distance qu’elle était
    
    transparente. En effet j'étais assise sur un tabouret tandis que lui
    
    œuvrait accroupi au milieu des légumes. Il ne pouvait ne pas regarder le
    
    fruit insolent qui rayonnait entre les cuisses. Il était étonné que je
    
    n'en eus pas conscience. Je protestais vingt ans après que c'était
    
    involontaire et que je n’avais pas voulu l'allumer. Il sourit. Je vis
    
    que je ne vaincrais pas le scepticisme d'un ...
    ... vicieux.
    
    Quelque peu mal à l'aise, je lui dis que c'était maintenant une époque
    
    révolue. Que j’avais pris des kilos. Que j''étais avachie. Je n'étais
    
    plus ce mignon bout de rose qui l'avait ébloui. Ce n'était non plus
    
    feinte coquetterie de ma part car je le pensais vraiment. Je recourais à
    
    plus d'artifices. Quand je chassais le mâle jeune en l'occurrence
    
    maintenant, je m'attifais en sûre garce me maquillant avec outrance des
    
    fois. Je ne dédaignais pas de paraître la pute que j'étais et assumais.
    
    Je me gardais de confesser cela à Armand. Je tâchais de lui faire croire
    
    plutôt à l'épouse sage nantie d'un seul amant.
    
    Ce coquin crut devoir pourtant renchérir me renvoyant à un second
    
    épisode résultant naturellement du précédent. Là aussi une certaine
    
    amnésie m'avait frappé. Les psys appellent cela refoulement. A l'époque
    
    je commençais à fréquenter les boums où menaçaient force drague et
    
    alcool. Mes parents légitimement s'inquiétaient. Qui plus est de bonne
    
    famille on ne devait pas s'exposer à un scandale. Bref la fille d'une
    
    voisine revenue hâtivement de la fête fit courir le bruit que j'étais
    
    ivre et dansait sur les tables. Ma mère paniquée demanda à Armand
    
    d’aller et de me ramener.
    
    La vérité simple est que j'avais bu et allumais un peu les garçons et
    
    que l'autre fille venimeuse et jalouse de mes succès n'avait pas trouvé
    
    mieux que de médire et de me calomnier. On ne m'informa pas moins qu'un
    
    type venu de la part de mes parents ...
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