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Pute vingt ans après
Datte: 08/04/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... premiers compliments. J'étais toujours aussi belle et la maturité avait ajouté à mon charme et ma sensualité. Évoquant cela son regard se jetait sans vergogne sur mes nichons que j’avais gros et lourds et sur mes jambes autant magnifiques qu'avant. J'eus alors comme un geste de pudeur qui ne lui échappa pas. Pour dire le vrai cet homme avait été mon premier amant. En quelque sorte mon initiateur aux choses du sexe. Je le connus peu après qu'un copain de lycée m'eût dépucelé. Épisode fort pitoyable. Ouvrier régulier dans la propriété de mon père il avait eu le temps de me repérer et reluquer. Il faut dire qu'en ce temps j'étais une belle gosse qui faisait rêver et saliver tous les mâles. J’étais l’objet de convoitise de tous. Surtout ma réputation de vicieuse et allumeuses se répandait. Je découvrais déjà mon pouvoir magnifique. La déesse que j'étais n'aimait rien tant qu'être adorée en idole. J'eus pu me contenter de cet engouement lointain et vouloir demeurer inaccessible à tous ces va-nu-pieds. N’empêche j'avais une amie trop dévergondée et qui goûtait volontiers à la chose avec un homme très mur et ami de son père. Avec elle nous parcourions souvent des revues porno. Elle tâchait de me convaincre du prestige du pénis surtout lorsque celui-ci était gros et performatif. Elle ne m'épargnait aucun détail de ses étreintes avec son mâle cochon. J'en savais plus qu'il n'en fallait. Surtout j'éprouvais à la ...
... fois de la honte et un fort complexe d'infériorité qu’elle eût connu avant moi ce domaine interdit et ainsi fascinant. Mes yeux devaient briller dans la pénombre. Elle me dit que son amant avait aussi pour copain ledit Armand. Ce dernier dispensait que j'étais une belle môme et par ailleurs coquine qui savait allumer. Bref il devait autant que d'autres aspiraient à me sauter. Le propos me troublât. J'étais émue à présent quand je croisais Armand dans les couloirs. Toute cette période où je devais découvrir le désir et le vice me revint en déluge dans La mémoire. Le combat entre débauche et innocence avait alors été homérique en mon esprit. Je n'eus pas à lutter longtemps. Peu de choses contrebalançaient l’influence funeste de la copine et les regards vicieux par en dessous d'Armand et d'autres. Ce n'était qu'une question de temps et de savoir qui allait de tous cueillir le fruit trop assuré de la chute de cette forteresse. Armand à ce moment dans la cuisine parlât précisément de cette époque où il me convoitait et où je me refusais encore. Ainsi parlât-il d'un épisode particulier que j'avais entre temps enfoui dans ma mémoire. C'était une après-midi. J'étais venue le rejoindre dans le potager car les parents usaient aussi de lui comme d'un jardinier. En cours le prof m'avait infligé de présenter un exposé sur un aspect de botanique. J'avais trouvé des choses dans les livres mais c'était fort abstrait et peu ...