1. Pute vingt ans après


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    Je ne suis guère un cordon bleu. Je ne sévis pas longtemps dans ma
    
    cuisine. Cependant ce jour-là je m'échinais à fourbir un plat dont une
    
    copine m'avait communiqué la recette via l'internet. En même temps je
    
    relevais un vieux défi lancé par mon mari de faire mentir ma réputation
    
    de piètre cuisinière. Bref j'étais ce jour-là tout à mon jeu et n'en
    
    souffrais pas moins. Machinalement jetais-je un œil par la fenêtre sur
    
    la rue. J'y vis le voisin d'en face me faire signe. Il faisait la
    
    conversation avec un type que je ne reconnus au tout premier abord.
    
    J'ouvris la fenêtre. L'un l'autre me parlaient.
    
    Peu à peu je discernais dans le discours du voisin que son interlocuteur
    
    m'était une ancienne connaissance. Intriguée je ne pouvais qu'autrement
    
    aller les rejoindre. Décidément cet homme à tout le moins soixantenaire
    
    petit et rabougri ne m'évoquait pas grand-chose. Il fallut que son nom
    
    et prénom soient déclarés pour que tout d'un coup s'éclaircisse. C'était
    
    Armand, notre vieil Armand le menuiser de mes parents. Celui qui venait
    
    sans cesse à la rescousse retaper notre petit château croulant. Le temps
    
    lui avait infligé son injure au point que je parvenais fort peu à le
    
    reconnaître.
    
    Cependant à son sourire je fus d'un coup renvoyée à vingt ans en
    
    arrière, au temps de ma jeunesse et d'une relative insouciance. Oui
    
    c'était bien lui. Le puzzle se reconstituait peu à peu. Par d'infimes
    
    gestes je parvenais enfin à ...
    ... l'identifier. Point de doute. Ce n'était pas
    
    un escroc se faisant passer ici pour lui. C'était mon bon Armand. Des
    
    souvenirs particuliers alors affleurèrent. J'en rougis. Le voisin ayant
    
    à faire par ailleurs, il nous laissa papoter sur le trottoir. Je ne
    
    pouvais que décemment inviter Armand à boire un verre et à poursuivre
    
    notre conversation et évocation du bon vieux temps.
    
    Surmontant sa réserve initiale, il se permit le ton badin de l'ancien
    
    temps surtout après que je lui eus dis que j'étais seule et que mon mari
    
    ne rentrerait de la piscine avec les enfants que dans deux heures. Il
    
    avait appris par des tiers mon mariage avec untel qu'il connaissait. Il
    
    me marqua clairement son étonnement que j'eus élu celui-ci dont je
    
    disais à l’époque pis que pendre. Je lui concédais que j'avais cédé aux
    
    parents et à la pression sociale. Et puis il était de bonne famille et
    
    enfin et surtout ce nigaud m'avait par inadvertance mis en cloque. Dans
    
    mon milieu on répare.
    
    Goguenard il me dit que de toute façon j’avais fait un bon mariage et en
    
    connaisseur de l'art il loua la belle bâtisse où j'habitais. Cela
    
    sentait son fric. Je reconnus que la société de mon mari engrangeait. Je
    
    n'avais pas trop à me plaindre. De mon côté je m'étais muée en
    
    directrice RH dans une boîte peu loin. Mes deux mômes étaient grands et
    
    bien élevées et me laissaient du loisir. Bref j'atteignais à la
    
    quarantaine heureuse et épanouie. Ce cochon hasarda alors ses ...
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