1. Telle mère...telle fille...


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... Mais peu à peu je repris mes esprits, assez pour me rendre compte de la situation. Et malgré le brouillard, et les yeux lourds de sommeils, je reconnu la silhouette de Martine.
    
    - Oh, tu étais là ? Me fit-elle. Je te croyais déjà partit ? Je venais ouvrir la fenêtre pour aérer la pièce.
    
    J’ai eu beaucoup de mal à faire sortir des mots de ma bouche, tant ma gorge était sèche. Peu à peu ma vue revenait à la normal. J’ai pus distinctement voir Martine, gigotant sur ses mules, au pas de la porte. Avec son beau visage. Ses cheveux ondulés reposant sur un pull de couleur rouge vif, bien rempli. Ainsi que ses fortes jambes gainées de bas opaques et brillants. Sous une jupe courte plissée. Martine était comme toujours radieuse. Je me suis laissé retomber sur l’oreiller, le regard au plafond. Je l’ai entendu ricaner, puis me lancer :
    
    - Eh bien, dis-moi, ça ne te vas de baiser tout la nuit.
    
    Comme je ne répondais rien, elle s’est pincée les lèvres.
    
    - Bon Alain tu es bien gentil, mais j’aimerais que tu te lèves pour que je puisse faire la chambre.
    
    Sans me laisser le temps de me passer un vêtement, elle pénétra dans la pièce. S’approchant au plus près du lit. Là, elle se pencha tout en restant debout, pour attraper un magazine tombé à terre. À ce moment sa jupe plissée se retroussa et j’ai pu apercevoir ses cuisses ensachées de nylon jusqu’à sa peau nue. Avec un peu de souplesse elle aurait pu me dévoiler sa culotte. Avec de telle pensée, je n’ai pas pu me retentir de ...
    ... tendre ma main vers ce qu’elle m’exposait et de la toucher. Martine, surprise, s’est retournée d’un bloc. L’air sévère.
    
    - Mais ça ne va pas ! Tu te crois où, là ? Je ne suis pas ta copine à ce que je sache.
    
    Mais au lieu de se redresser, et s‘enfuir, comme l’aurait fait toute femme normalement composée, elle , Martine, est restée sur place. Il ne m’en fallait pas plus pour échauffer les sangs. À en avoir la verge de plus en plus dure. D’ailleurs cela n’échappa pas à la coquine. Qui avait braquée son regard dessus. Je profitais qu’elle soit occupée à me mater pour saisir son poignet et de la faire basculé sur le lit. Elle s’est bien sûr débattue, en lançant des :
    
    - Mais ça ne va pas ! Non, mais putain pour qui tu me
    
    prends ?
    
    Mais sans pour cela qu’elle cherche à se dégager. Au point que j’ai pu l’immobiliser. Les deux poignets cloués au matelas.
    
    - Lâche-moi, pauvre minable. Tu me fais mal, là.
    
    Son mépris sur l’instant, m’avait mis en colère. Au point de l’écraser sous moi, alors qu’elle me martelait le dos à l’aide de ses poings. Cela ne m‘empêchais pas de faire glisser sa jupe haut sur sa taille. Et par la suite, lui ôter sa culotte. Enfin ! Lui déchiré serait le mot juste.
    
    - Je m’excuse. Lui lançais-je
    
    - Tu vas me payer ça ! Salaud…
    
    Elle profita de mon infortune pour se dégager. Suite à une bourrade. J’ai dû l’empoigner par les cheveux et la tirer en arrière pour l’immobiliser de nouveau sur le matelas. Elle avait poussé un cri de douleur. Mais ...