1. Telle mère...telle fille...


    Datte: 08/04/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... d’ouvrir et de refermer le trou strié en étoile. Tout autour, les poils étaient luisants de sueur.
    
    Je n’avais pas pu me retenir d’y enfoncer mon index. Griffant doucement la chair moite du bout du doigt. Elle se crispa un instant avant de s’amollir. Ivre d’excitation, je n’avais pas pu m’empêcher de remplacer mon index par ma verge. Et ce fut notre première relation sexuelle, avant bien d’autre.
    
    Peu à peu j’avais accentué mon emprise sur elle. Me montrant de plus en plus exigeant. Sans presque s’en apercevoir, elle était passée de l’état de partenaire à celui d’esclave sexuelle. Mais cela n’était pas pour la gêner. Tout au contraire, elle ne pouvait plus se passer de moi. Au point d’exiger que je vienne dormir tous les dimanches soir dans sa chambre, mais pas moins dans l’appartement de ses parents.
    
    Et comme les précédents lundi matin, Sylvie s’était préparée pour partir au boulot. Insistant comme à chaque fois que je reste au lit. Mais avant de partir après m’avoir embrassé, elle me rappela :
    
    - Mes parents ne vont pas tarder de partir. N’oublie pas de fermer la porte et de mettre la clef sous le…
    
    - Paillasson… oui ma chérie, je le sais.
    
    - J’avais peur que tu ais oublié.
    
    - Il n’y a de risque pour ça. Tu me le rappel à chaque fois !
    
    - À ce soir, et en forme. Me fit-elle avant de disparaître.
    
    J’ai attendu de ne plus entendre de bruit dans l’appartement pour sortir la petite culotte de la maman de Sylvie, enfoui sous le matelas. Je l‘avais récupérer ...
    ... la veille, après que Martine (la mère), s’en était débarrassée dans la salle de bains.
    
    Le souffle me manquait, alors que je la glissais jusqu’à mes narines. L’odeur emplissait mes naseaux. Je fermai les yeux en me mémorisant la silhouette de Martine, tout en la reniflant. Me soûlant de cette exquise senteur de chatte. Un parfum que j’aimais tant. Rien ne pouvait m’exciter plus, et au concours de celle qui avait l’odeur la plus forte, entre la fille et la mère, la belle quadragénaire recevait la palme.
    
    Excité comme jamais, je n’avais pas résisté de me branler. Mais pas n’importe comment. Pour se faire j’enroulais la petite dentelle odorante autour de ma verge, et je me masturbais, ivre d’excitation. La violence de ma passion eut raison de mes précautions élémentaires. Celles de ne pas souillé la lingerie que je devais restituer à sa propriétaire. Mais le plaisir m’arriva avec une telle intensité que j’échappais à toutes retenues. Mon foutre inonda la dentelle. En abondance.
    
    Malgré la force jouissance, ma verge restait gonflée. Je m’activai de nouveau sur elle, encore et encore, jusqu’à en lâcher une nouvelle rasade dans la lingerie. Elle n’était plus qu’un magna de sperme gluant.
    
    Je m’étais persuadé de m’occuper de la nettoyer dans les plus brefs délais. Apaisé par les jouissances, le sommeil eut finalement raison de moi.
    
    Il m’emporta jusqu’au moment où je fus réveillé par une grosse centralisation de lumière. Sur le moment, je ne compris pas ce qui m’arrivait. ...
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