1. Souvenir de jeunesse – 2 : Notre ami photographe.


    Datte: 07/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: PP06, Source: Hds

    ... sans bouger. Elle se retourne, se colle contre lui, accrochant ses bras autour de son cou. Il n’a pas joui, sa queue bien dure serrée contre le ventre de Martine. Ils s’embrassent, un vrai baiser, un long baiser, celui d’une femme à son amant. C’est la première fois, avant sa bouche m’était réservée. Ils s’embrassent, se frottent l’un contre l’autre, ses seins contre son torse, ils se caressent mutuellement, les fesses, le dos, les cuisses. Elle me jette un regard rapide, cette fois un peu gênée, toujours excitée.
    
    Sans se préoccuper de ma présence, elle lève une jambe, la passe derrière les fesses de notre ami, elle saisit le membre de chair qui palpite contre son ventre, le frotte contre ses lèvres toujours humides, le positionne, debout il s’enfonce en elle. Il la tient par les fesses, bien ancré sur ses jambes. S’accrochant à son cou, elle ondule des hanches et des fesses, elle le branle avec sa chatte. Les fesses de notre ami se contractent régulièrement enfonçant sa queue à chaque fois un peu plus loin. C’en est trop, il ne tient plus, il jouit en elle, lui arrachant un nouvel orgasme.
    
    Ils ne gardent pas la pose très longtemps, fatiguant tout de même. Petite douche rapide, il sort sans trop me regarder, Martine se blottit toute mouillée dans mes bras. Collée à moi. Elle ne dit rien, juste :
    
    - Pardon…
    
    Elle va se coucher.
    
    Je retourne au salon, pour installer rapidement notre ami qui doit dormir sur le canapé. Aucun mot, il n’y a rien à rajouter.
    
    Au lit, ...
    ... je tourne le dos à Martine, encore choqué par ce que je viens de vivre. Je ne veux pas la toucher. Elle se colle à moi, se presse contre moi, je sens ses seins, son corps chaud contre mon dos. J’entends faiblement un « je t’aime » entre deux larmes retenues… on s’endort.
    
    Le lendemain, son peignoir bien fermé, elle nous prépare le petit déjeuner. Il essaye de l’embrasser en lui disant bonjour, elle tourne la tête, ouf ! Il n’insiste pas. Il nous quitte rapidement, essayant encore de l’embrasser en lui disant au revoir, la tenant dans ses bras. De nouveau, elle tourne la tête. Je la retrouve, on se retrouve…
    
    Dix jours après, il revient nous porter son cadeau, deux albums photos et l’agrandissement qui décore notre chambre encore aujourd’hui.
    
    On feuillette ensemble les albums.
    
    Celui du mariage est très classe, c’est un vrai pro. Depuis l’habillage de la mariée dans la maison de ses parents, premières photos en sous-vêtements, petit jupon, photos qui suggèrent sans rien montrer, jusqu’au soir, Martine dans mes bras au seuil de la porte nuptiale, en passant par chaque invité, les parents, les tontons, les cousins, les collègues, les amis proches ou lointains posant avec les jeunes mariés, personne n’est oublié.
    
    Le second commence de façon identique, le matin par l’habillage de la mariée. Première photo, elle est dans un petit déshabillé blanc, correct. Puis une série de photos de l’habillage aidée par sa sœur, Martine met ses bas, Martine entre ouvre son déshabillé, ...
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