1. Souvenir de jeunesse – 2 : Notre ami photographe.


    Datte: 07/04/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: PP06, Source: Hds

    ... de compléter notre album par une série de portraits plus intimes de nous et nous promet un agrandissement pour décorer notre chambre.
    
    On se rend dans son studio pour quelques clichés style Harcourt. Beaucoup de portraits, moi parfois torse nu, Martine dans mes bras, très sensuelle, mais très sage.
    
    Il suggère de compléter par des clichés pris dans un cadre plus personnel. Nous l’invitons donc un soir à dîner, prévoyant une séance de pose après le repas.
    
    Durant l’apéritif, il nous expose sa façon de travailler. C’est passionnant. Martine ne veut pas aller dans notre chambre, trop intime. Elle préfère le salon. Elle recouvre le canapé d’un paréo acheté en Thaïlande, souvenir de notre voyage de noces, afin de créer une ambiance bien à nous.
    
    Pendant le repas, nous discutons de tout et de rien. On évoque nos amis communs, notre mariage, le séjour en Thaïlande, il y est déjà allé en vacances.
    
    Il est tard. Comme il habite loin, nous lui proposons de dormir sur le canapé après la séance.
    
    Il commence à nous photographier tous les deux, en amoureux, de face, de profil, joue contre joue, petites bises, câlin sur l’épaule, dans le cou, gros plan, plan large. Il nous mitraille. Il fera ensuite un choix des meilleurs clichés.
    
    Je constate rapidement qu’il veut surtout faire des portraits de Martine. Assis dans le fauteuil, je deviens vite spectateur, face au canapé où trône Martine, star de la soirée. Il lui demande d’ouvrir un peu son chemisier pour dégager son cou, ...
    ... ses épaules. Petit à petit, de conseils en suggestions… son chemisier est ouvert, soutien-gorge visible. Ce n’est pas suffisant, il lui propose de l’enlever. Elle hésite, comme je ne dis rien, elle l’enlève refermant son chemisier, c’est vrai qu’ainsi c’est plus photogénique, son cou est dégagé, la photo laisse courir l’imagination… Elle ne s’en rend pas compte, mais elle doit bien le savoir, on devine ses seins, on découvre ses tétons au travers du tissu léger qui ne la protège pas du regard.
    
    Tout naturellement, il lui demande d’ouvrir son chemisier… ses seins se dévoilent, sans aucune barrière… elle l’enlève… Comme dans un rêve, elle fait tout ce qu’il lui demande, sans hésiter, sans me regarder. Assez surpris, je vois peu à peu ma jeune femme se dénuder devant notre ami. Fasciné, excité je ne dis rien, je regarde. Personne ne fait plus attention à moi.
    
    L’appareil photo crépite, gros plans sur sa poitrine nue, devant, au-dessus, de profil ; pour parfaire les poses, il lui positionne le bras, la tête, sa main touche le corps de Martine, dans le mouvement, il lui frôle les seins qui commence à pointer. Martine frisonne, mais pas de froid.
    
    Changement de pose, il veut une photo allongée sur le canapé, lascive, torse nu, offerte. Son corps mis en valeur sur le paréo coloré. Son pantalon est anachronique… Il faut l’enlever… En petite culotte, culotte suffisamment légère pour s’apercevoir qu’elle est rasée, la toison repousse juste depuis quelques jours ; ses fesses tendent ...
«1234...7»