1. Exhib sur aire d'autoroute et parking de nuit


    Datte: 06/04/2021, Catégories: fhhh, couple, inconnu, parking, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, lieuxpubl, Auteur: Oeilsoft, Source: Revebebe

    ... branler, mais c’est tout, et surtout de ne pas trahir leur présence, sinon je m’en vais. Nous avons affaire à des véritables voyeurs, ils ont l’air respectueux. Je me penche sur Léa délicatement, comme si elle dormait vraiment.
    
    — Tu as trois admirateurs… Tu vas te faire mater, régale-toi !
    
    Puis, avec d’infinies précautions, je commence à lui déboutonner son chemisier, bouton après bouton, pour en écarter les pans avec la plus grande indécence, sur des seins que je vois tendus, offerts et qui réclament crûment ce viol visuel. Nos trois mateurs, la bite tendue, se branlent avec gourmandise.
    
    — Tu les fais bander, ma cochonne… T’as vu comment ils te matent les nichons ! Maintenant, on va leur mettre ta chatte à la bouche, ils vont se vider leurs couilles rien que pour toi, je murmure doucement au creux de son oreille.
    
    Par le petit entrebâillement de la vitre, on entend leur respiration, presque leur main sur leur queue violacée et durcie. Mes mains descendent sur la petite jupe, défont le nœud et tirent doucement, doucement, pour finalement soulever un pan, faire apparaître une cuisse indécente et la dénuder complètement. L’autre pan de la micro-mini se soulève, glisse tout doucement, dévoilant petit à petit une petite toison tondue et taillée, une chatte qu’ils espèrent chaude et humide. Un complice jouit, le visage rouge, les yeux exorbités.
    
    — T’es trop bandante, tu vois…
    
    Je vois que le compliment va droit au cœur de Léa, sa respiration devenant rauque. Il ...
    ... est notoire qu’elle fait d’énormes efforts pour ne pas bouger. L’autre cuisse s’expose, comme à la parade, cette femme leur fait admirer son intimité, violentée par ces regards lubriques. Le rythme de leurs mains accélère, leur souffle se fait plus profond. Quelques mots en sourdine transparaissent :
    
    — … salope… chatte… putain…
    
    Un récital de compliments d’érotisme, l’ode sensuelle et quasiment bestiale à ma fée. Doucement, je leur montre mon index gauche, le dirige sur cette moule offerte, et le fais pénétrer dans ce trou de convoitise. Un « Oooh… » contenu ponctue une éjaculation annoncée. Je sors mon index, le dirige sur la bouche de Léa et le lui enfonce entre les lèvres. Ce qui fait se contracter le troisième.
    
    — Regarde… il va te vider ses couilles pour toi…
    
    Le sperme gicle sur la vitre dans un soubresaut expiatoire. Quelques secondes de calme après cette tempête, et notre complice passe un mouchoir sur ces traces blanchâtres dégoulinantes, pour faire disparaître ce viol consenti, puis disparaît à son tour dans la nuit. C’est génial, quand on tombe sur des VRAIS voyeurs respectueux, ça ne peut que permettre de continuer, sinon c’est terminé pour très longtemps, ce serait trop dommage pour tout le monde. Des phares s’allument et quittent ce repaire du vice, nous sommes seuls. Léa bondit sur moi :
    
    — Maintenant, t’as LARGEMENT intérêt à me sauter ! J’en peux plus, moi !
    
    Debout contre la voiture, à poil et surexcitée, Léa donne libre cours à toute cette envie ...