1. Exhib sur aire d'autoroute et parking de nuit


    Datte: 06/04/2021, Catégories: fhhh, couple, inconnu, parking, voiture, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, lieuxpubl, Auteur: Oeilsoft, Source: Revebebe

    ... toilettes, les yeux pétillants d’un regard coquin, Léa comble le désert de cette aire de repos par un effeuillage total de son chemisier, et y associe, en tirant sur le nœud de sa micro toute petite mini-mini, le ridicule morceau de tissu qui lui tenait lieu de jupe. Voici ma Léa entièrement à poil qui chaloupe vers la voiture et s’exhibe à mes seuls yeux, mais qui en valent au moins quatre. GGRRRRRR… quand je pense que j’ai oublié l’appareil photo !
    
    Ce petit arrêt l’ayant quelque peu allumée, Léa s’étend sur le siège, très chatte et chaude. Le chemisier et la mini retrouvent leur usage premier, mais sans devenir puritain pour autant, loin de là. Ce qu’il y a de bien sur l’autoroute, c’est que les aires de repos sont fréquentes, donc, quinze kilomètres plus loin, petite pause, non pas pipi, mais érotique. En bons citoyens, très occupés par la sécurité routière, nous faisons des arrêts fréquents… Ah ! ce que Bison Futé est futé !
    
    L’aire suivante n’est pas une île déserte. Un mille-pattes et une seule voiture, mais quelle voiture… Un petit monsieur tout seul et son chien. Je me gare à quelques places de lui, descends et vais ouvrir la portière à Léa – galant, certes, mais surtout voyeur. J’ai droit à une vue superbe sur deux cuisses qui s’ouvrent grand pour sortir, m’exhibant une chatte magnifique et surtout fière de l’intérêt qu’elle me procure. Une poitrine à peine dissimulée par l’échancrure d’un chemisier qui, visiblement, est un fervent militant de l’attentat à ...
    ... la pudeur. En un mot : bandante ! Évidemment, elle a droit à un regard très marqué, se voulant discret, de ce complice involontaire.
    
    — Tu te fais mater, ma chérie ! Et pas que par moi…
    
    Les yeux brillants de Léa semblent vouloir dire : « Je veux que oui… quand même ! » Quelques pas, histoire de se dégourdir les jambes – enfin, je devrais plutôt dire pour se dégourdir la chatte – et l’air de rien, nous nous dirigeons dans la direction de cet homme et son chien. Évidemment, arrive ce que je souhaite : le caniche se dirige sur nous et nous renifle pour, instinctivement, venir sentir entre les cuisses de Léa. Il a senti la femelle en chaleur.
    
    — Titi ! Viens ici tout d’suite ! Excusez-le, m’sieur-dame… Titi ! Ça suffit ! Viens là !
    
    Certes, il parle à son chien, mais c’est Léa qu’il regarde… qu’il regarde… qu’il mate, surtout ! Son chien est à la fois son complice mais aussi le nôtre. Loin de se débarrasser de Titi, nous faisons en sorte de le garder près de nous, et d’engager un semblant de conversation. Le petit monsieur est maintenant à deux mètres de nous et ne sait plus trop où regarder, un peu gêné certes, mais extrêmement intéressé par cette apparition. L’air de rien, Léa s’accroupit pour caresser l’animal et offre à ce complice une vue plongeante sur ce gouffre gigantesque où trône une poitrine chaude et accueillante – le panoramique de cette magnifique paire de cuisses n’en est pas moins autant sympathique.
    
    Bien sûr, nous papotons tous de ce chien, avec des ...
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