1. L'étalon aiguille (Tome 3) (9)


    Datte: 04/04/2021, Catégories: Transexuels Auteur: Sam Botte, Source: Xstory

    ... voix de Tiffanny, s’éleva, vibrante d’excitation :
    
    — Tu as raison, Sam ! Mâte-le dès le départ. Parce que si tu commences à lui laisser une main, il te prendra tout le bras.
    
    — Viens contre moi, Tiff’. Tu veux bien ?
    
    — Oui.
    
    — Oh oui, viens ! Viens et caresse-moi, embrasse-moi. Tu me rends folle, tu sais …
    
    J’étais resté plaquée tout contre Phil et regardai Tiffanny extraire délicatement de son vagin le godemiché. Elle remonta la fermeture éclair de son pantalon et, à son tour, se colla dans mon dos et commença à caresser le satin de mon soutien-gorge. Je sentis immédiatement la pointe de mes seins devenir encore plus dure, aussi dure que la verge sur laquelle glissait doucement ma main gantée de bleu. Je me surpris à la serrer plus fort lorsque ses doigts frayèrent leur chemin par-dessus le cuir de ma jupe jusqu’à mon pubis. Après m’être tordu le cou pour pouvoir dévorer les lèvres de ma belle anglaise, je relâchai l’étau et ralentis les mouvements de ma main droite. Je sentis Philippe se détendre un peu. Me délaissant un instant, sa femme vint s’agenouiller devant lui et lécha son gland découvert. Je dégageai ma main pour la laisser faire.
    
    Il tenta aussitôt de profiter de ce qu’il avait les mains libres pour les poser sur ses cheveux blonds et la forcer à engloutir entièrement sa verge. Je lui saisis les poignets en le menaçant de sévir s’il tentait seulement de recommencer…
    
    Je mis ma menace à exécution moins de deux minutes plus tard, lorsqu’il chercha à ...
    ... caresser ma cuisse avec sa main droite et lui attachai les bras à l’un des rails qui couraient au plafond. Profondément excitée elle aussi, Tiffanny le chauffa à blanc en poursuivant la fellation qu’elle venait d’entamer, puis elle se redressa et me regarda, manifestement satisfaite : le corps entier de Philippe était tendu comme un arc, mais il restait maintenant parfaitement immobile.
    
    — C’est bien Marie-Thérèse, je suis fière de toi !
    
    — Merci Maîtresse…
    
    — Tu veux la récompenser, Sam, ou je le fais moi?
    
    — Je veux bien le faire. J’ai même envie d’essayer quelque chose !
    
    Je me mis alors à masturber avec application le pauvre Philippe. J’y mettais toute la sensualité dont j’étais capable, faisant alterner sur sa verge les frôlements les plus langoureux avec les caresses plus violentes. Parfois, ma main enserrait doucement son gland avant que je ne la fasse descendre lentement en desserrant mon étreinte au fur et à mesure qu’elle glissait tout le long de la hampe. Parfois, je serrais fort sa tige et le branlais furieusement. Malgré tous ses efforts, je compris bientôt qu’il était sur le point de craquer.
    
    Au moment où il allait éjaculer, je pressai fortement son frein et enfermai le gland violacé dans ma main. Je sentais sous mes doigts l’urètre se gonfler à chaque jet de sperme que ma manœuvre emprisonnait. Au bout d’une dizaine de secondes, je relâchai enfin par à-coups l’étau de mes doigts et recueillis le fruit de sa jouissance dans ma paume gauche toujours ...
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