1. Ancestor, épisode 1/6


    Datte: 02/04/2021, Catégories: fh, grp, asie, Collègues / Travail grossexe, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, pénétratio, Partouze / Groupe Auteur: Philipum, Source: Revebebe

    ... Fassin, mais elle ne se donnait qu’au compte-gouttes. Semona, une fois de plus, leva bien haut ses fesses. Tout en les remuant à l’adresse de Madan, elle se mit à quatre pattes et c’est dans cette position qu’il la prit soudain, par-derrière, ses mains passées sous elle pour lui saisir les seins. Il la pénétra avec de longs mouvements de va-et-vient, puis ressortit pour l’entourer et la parcourir sensuellement avec ses bras, tout entière. Un magnifique spectacle, pour tout dire, surtout lorsqu’il la reprit à nouveau, plus lentement, son corps agité de tremblements. Omanetter, toujours aussi galant bien que n’y tenant visiblement plus à voir la taille exorbitante qu’avait prise son pénis, se contentait de caresser inlassablement Jarmi en suivant le tracé délicat de ses courbes.
    
    Il était quatorze heures quarante, cela signifiait que les hommes allaient s’allonger sur le dos. Je parcourus le beau corps d’athlète d’Argus avec mes lèvres, lui donnant de petits bisous très doux sur le gland, remontant le long de son abdomen et sa poitrine, m’attardant sur ses biceps, pour finir avec un long baiser fougueux sur la bouche ; c’est alors qu’il me saisit et descendit ses mains le long de mon corps pour m’attirer à lui. Je voulus résister, mais il était fort : il eut raison de moi. Il me pénétra profondément avec des coups rapides, poussant des râles d’extase. Peu de temps après, il s’affala comme une masse et son sexe, devenu tout mou, glissa hors de mon vagin, devenu tout ...
    ... mouillé.
    
    — Pardon, fit-il avec honte, je crois que je me suis laissé aller…
    — C’est bon, répondis-je avec un sourire, tu en avais bien besoin.
    
    Il était temps de changer de position, je m’allongeai donc et pris mon amant dans mes bras ; il se cala contre moi. J’observai les autres hommes, me demandant s’ils tenaient encore. Apparemment, Madan avait succombé aux charmes de sa patronne : il était complètement inerte et elle était allée se faire un café. Fassin et Omanetter tenaient bon, ils s’attelaient à leur tâche sans signes de fatigue. Leurs compagnes prenaient manifestement leur pied. Un concert de cris de jouissance monta peu à peu en crescendo. Mais Fassin, n’ayant curieusement pas oublié l’heure, s’interrompit soudain à quinze heures précises, malgré les insistances d’Anne-Marie qui n’en avait pas eu assez ; Omanetter se mit au défi de satisfaire seul les deux jeunes femmes surexcitées.
    
    Fassin vint vers moi et plongea son regard dans le mien. Je fus comme magnétisée. Je répondis avec passion à son étreinte. Nous roulâmes ensemble sur le matelas pour nous fondre l’un dans l’autre. Une chaleur indescriptible monta dans mon ventre lorsqu’il me pénétra, et se propagea dans mon corps et hors de mon corps pour être propulsée dans toutes les directions en une gigantesque explosion. Je crois que nous criâmes ensemble au sommet de notre orgasme. Nous restâmes ensuite enlacés longtemps, les yeux dans les yeux, béats ; il me dit qu’il m’aimait, et spontanément, je lui répondis que ...
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