1. Ancestor, épisode 1/6


    Datte: 02/04/2021, Catégories: fh, grp, asie, Collègues / Travail grossexe, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, pénétratio, Partouze / Groupe Auteur: Philipum, Source: Revebebe

    ... avec Anne-Marie qui connaissait un peu mieux Jarmi, nous conclûmes qu’elle l’avait fait exprès. Anne-Marie, quant à elle, se tortillait et jubilait sous les chatouilles d’Omanetter, qui avait entrepris de déposer de petits bisous sous ses bras et autour de ses seins, et de redescendre le long du ventre.
    
    Il fut temps de changer de partenaire. Un peu effrayée tout autant par l’ardeur d’Argus que par l’insistance de Fassin, je me glissai jusqu’à Omanetter et commençai à lui masser le dos. Argus enleva carrément son pantalon et s’installa à plat ventre auprès d’Anne-Marie. Semona alla vers Fassin et décida de lui ôter elle-même son pantalon.
    
    Je me sentais libre et en confiance avec Omanetter : ayant passé beaucoup de temps ensemble, nous avions appris à nous connaître, et j’appréciais vraiment sa simplicité et sa galanterie. Je le massai avec tendresse en y mettant tout mon cœur. À côté de moi, Semona avait chevauché Fassin et passait ses mains tantôt le long de son dos, tantôt sous son ventre, tout en se frottant contre ses fesses. C’était elle qui avait choisi l’ordre dans lequel se déroulaient les massages, pourtant elle semblait être la plus impatiente de changer de position.
    
    Le changement eut lieu bien assez tôt : je m’allongeai sur le ventre et laissai Omanetter me caresser (ses massages ressemblaient plus à des caresses). Je ne sais plus très bien ce qu’il fit avec moi, car mon attention fut captée par le spectacle d’Argus dévoilant son pénis en érection et ...
    ... tirant le bassin d’Anne-Marie à lui pour se frotter contre elle. Cela faisait rire Anne-Marie, qui s’amusait à remuer des fesses tout en les serrant suffisamment pour interdire l’accès à son entrejambe. Au comble de l’exacerbation, son souffle s’intensifiant, Argus lui souleva le torse afin de lui saisir les seins, et se serra contre elle, comblant son cou de baisers mouillés. De l’autre côté, j’assistai à la scène inverse : Semona avait replié ses genoux sous elle, les jambes écartées, et offrait généreusement ses parties intimes à Fassin, qui, par fierté probablement, refusa de se laisser tenter : il continua à la masser, certes avec beaucoup de vigueur.
    
    À quatorze heures, les hommes s’allongèrent sur le dos. Ils étaient censés se laisser faire sans bouger. La pénétration était désormais autorisée, mais pas l’éjaculation : pour cela, il faudrait encore attendre une heure. Semona arracha le caleçon de Fassin et commença à lui sucer le sexe en proclamant :
    
    — Un petit massage du pénis, il n’y a rien de tel pour procurer du plaisir à son compagnon.
    
    Entraînée par l’ambiance générale, je fus prise de l’envie de l’imiter. Je déboutonnai alors délicatement le pantalon d’Omanetter, sous lequel je sentais une masse dure. Je ne pus contenir un cri d’admiration : tout autant par sa forme, sa taille, sa dureté et sa texture, le pénis d’Omanetter avait des allures de festin. Je le savourai avec mes lèvres et ma langue, puis le laissai se promener entre mes seins. Les quatre hommes ...
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