1. Le temps des manifs...


    Datte: 02/04/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, amour, volupté, pénétratio, fsodo, init, Auteur: Jeff, Source: Revebebe

    ... bourses et je la soupçonnais de se caresser à chaque frôlement de ses mains sur son clitoris. Mes mains largement attachées à ses hanches, j’entamais de lents et profonds allers et retours qui ont fini en un feu d’artifice. Elle mordait le traversin qui était devant elle, moi j’avais la tête en feu, le ventre dur et les reins à la limite de la tétanie.
    
    A bout de souffle autant que moi, son corps luisant de transpiration, elle est venue se blottir contre moi. Bien entendu, je m’étonnais de cette virginité, intacte il y a un instant encore, et je la raillais quelque peu sur son petit trou si rapidement accommodé à mon sexe. Et elle s’ouvrait à moi de ses peurs de tomber enceinte malgré les précautions prises, et de l’habitude qu’elle avait de pratiquer la sodomie avec ses petits copains…
    
    Quand, au matin, je me suis réveillé, elle était toujours lovée contre moi et dormait silencieusement. Nous étions tous les deux partis dans les bras de Morphée, sans nous en rendre compte…
    
    Ce matin-là, après un copieux petit déjeuner, nous avons dû nous séparer à regret, chacun devant rejoindre son AG respective, mais nous étions d’accord pour un rencard, au soir venu, à l’issu de la manif, dans un lieu connu d’elle. La journée s’est passée à la vitesse de la lumière, mais en même temps tous les discours, toutes les criailleries me semblaient vaines et ennuyeuses. Dans ma tête, seule l’image du corps de Marie-Hélène endormie à mes côtés me donnait le courage d’avancer. Le reste ne ...
    ... m’intéressait plus trop. Et je n’avais qu’une hâte, la retrouver…
    
    Le soir venu, un peu fatigué par une nouvelle longue marche le long des boulevards parisiens, avant que la manif ne se disperse, je me précipitais vers mon lieu de rendez-vous. Malheureusement, impossible d’approcher. Les cordons de CRS barraient toutes les rues d’accès. Il était évident que les bagarres, les charges et contre-charges entre police et casseurs allaient m’empêcher de rejoindre Marie-Hélène. Et je ne savais où la trouver…
    
    Je suis rentré rapidement chez moi, espérant qu’elle aurait l’idée de venir m’y rejoindre pour m’attendre devant la porte ou déposer un mot dans ma boîte. J’ai passé la soirée à me morfondre devant la télé, à fulminer contre le gouvernement, les casseurs et tout le reste… Je me suis même endormi devant mon poste, branché en continu sur LCI… quand le téléphone m’a sorti de ma léthargie…
    
    C’était Marie-Hélène, qui sortait des Urgences et qui voulait que je vienne la chercher. Elle avait pris un coup de matraque sur la tête alors qu’elle m’attendait avec impatience. Elle avait vu la cavalcade des manifestants qui refluaient devant la charge sauvage des flics. Ils avaient tapé sur tout ce qui se trouvait sur leur passage, et Marie-Hélène, qui s’était rencognée dans une porte cochère, n’avait eu que le temps de mettre ses bras en protection au-dessus de son visage pour amortir l’impact de la matraque. Elle s’était retrouvée à l’hosto, le visage sanguinolent, avec une belle ...
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