Le temps des manifs...
Datte: 02/04/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
inconnu,
amour,
volupté,
pénétratio,
fsodo,
init,
Auteur: Jeff, Source: Revebebe
... l’heure, j’ai immédiatement mis un peu de distance entre nous et lui proposais même une douche, pour se remettre complètement de ses émotions. Après quelques instants d’hésitations, elle acceptait.
Pendant que je l’entendais siffloter sous le jet d’eau, je préparais rapidement un copieux plat de pâtes.
Elle est entrée dans la kitchenette sans que je l’entende. Elle était pieds nus et avait enfilé mon peignoir, bien trop grand pour elle. Ses cheveux étaient ceints d’une serviette nouée en un savant drapé. Le teint frais, rehaussé par la vapeur bienfaitrice de la douche, faisait ressortir une multitude de taches de rousseur. Elle m’a ceinturé de ses bras et a appuyé sa joue contre ma poitrine en m’expliquant que c’était la première fois qu’elle se sentait aussi bien depuis qu’elle était arrivée à Paris.
Je ne savais trop quelle attitude adopter. La serrer contre moi ? Prendre ses lèvres ou jouer quelques instants le consolateur… ou lui proposer de passer à table ? Enfin, quand je dis « à table »… comme je suis meublé sommairement, je n’ai pas véritablement de table. Seul un plateau de verre, posé sur deux caisses de bois devant le canapé et un fauteuil, fait office de table.
Elle a empoigné son assiette et s’est installée au milieu du canapé en croisant les jambes dans la position du lotus, puis elle a attaqué à belles dents l’assiettée plutôt que de la déguster. Assise en face de moi, elle m’offrait le ravissant spectacle de ses cuisses nues et de son entrejambe ...
... largement écarté, nu lui aussi. Malgré l’ombre du peignoir, je pouvais me régaler d’une intimité bombée et de fines lèvres serrées qui ondulaient de bas en haut, sans l’ombre d’un poil. À cette vue, j’ai dû devenir tout rouge, et ma fourchette a même ripé sur le rebord de mon assiette, envoyant valdinguer une large part de pâtes sur la moquette. Elle riait de me voir dans cet état, sans vraiment - du moins je crois - savoir pourquoi j’étais en train de devenir aussi maladroit. Elle riait tellement qu’à son tour elle a fait choir une large part qui est descendue en droite ligne sur sa cuisse nue. Le contact du chaud lui a fait pousser un petit cri et poser précipitamment son assiette. Une jambe toujours repliée sous elle, l’autre étendue sur le canapé, elle se tenait la cuisse, comme une fillette qui vient de se brûler ou de se blesser, avec mimiques, souffles et petits cris de douleur.
Bravement, je me suis ressaisi. Je lui ai ordonné en la rassurant de cesser de gesticuler. Oui, j’allais la soigner. Et j’ai impulsivement approché mes lèvres de la rougeur qui marquait sa cuisse.
Je lui ai déposé là une série de tendres bisous, comme ceux que l’on distribue aux enfants quand ils viennent de se faire bobo. Mais mes lèvres se sont senties attirées par le haut de la cuisse. Elle était veloutée, tendre, chaude. Et plus je remontais, plus elle était chaude et élastique. Finalement, ma bouche s’est trouvée en contact avec son minou imberbe. À mon approche, il s’est ouvert comme ...