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Douce nuit, contrainte nuit (1)
Datte: 01/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: Mir, Source: Xstory
... doute de rien : tu as bien dormi la plupart du temps. Ne t’inquiète pas : on ne voit jamais ton visage ; même si mon téléphone est piraté ou autre on ne peut pas te reconnaitre. Je vis alors comment il m’avait prise, baisée, brutalement, sauvagement, puis comment il avait éjaculé dans ma bouche, comment il m’avait longuement et violemment enculée et faite crier puis gémir, puis à nouveau baisée, jouissant occasionnellement sur mon corps. Lui-même prenait manifestement son pied en me lançant des qualificatifs orduriers voire insultants, en parlant sans cesse de ma chatte, mon cul, sa queue, son foutre, en disant son plaisir à me remplir et à me sentir immobile et passive sous lui. Le film incluait les coulées de sperme le long de mes cuisses, hors de mon anus, sur mes seins, au bord de mes lèvres. Je me rendis compte que je pantelais en regardant les images de ma soumission inconsciente défiler. Il s’était blotti contre moi et avait glissé une main sous mes fesses. Je me voyais sur le ventre, jambes écartées, sa queue allant ...
... et venant dans mon anus alors qu’il me traitait de bonne pute. Je mordis mes lèvres et plaçai ma main entre mes cuisses. - Ma chérie, je crois qu’on devrait un peu plus explorer ces choses-là au lit… Il souleva mon bassin et se glissa derrière moi. J’étais toujours allongée, sur lui désormais, lui tournant le dos. Il plaça son pénis entre mes jambes qu’il venait d’écarter et le planta en moi, sans préparation. Je gémis, les yeux toujours fixés sur l’écran. - Ecarte plus largement les jambes… Ne bouge pas… Ne dis rien… Laisse-toi faire… Il avait attrapé mes seins, qu’il malmenait. Mon corps était entièrement soumis à ses mouvements, je me laissai tringler ainsi avec délice, mes gémissements se mêlant à ceux de la vidéo. - Tu es d’accord, ma chérie ? Pour explorer ? Explorer profondément, comme sur la vidéo ? Je murmurai : - Tout ce que tu veux… Il me fit alors brutalement basculer sur le ventre. Le téléphone m’échappa, continuant à diffuser ses gémissements soumis contre le matelas, et l’Exploration commença.