1. Douce nuit, contrainte nuit (1)


    Datte: 01/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: Mir, Source: Xstory

    ... lécher et me sucer, ce qu’il faisait avidement.
    
    Nous n’avions pas vraiment envisagé de position où il maîtrisait la situation : même en missionnaire (assez rarement), je rythmais sa pénétration et n’hésitais pas à le repousser s’il allait trop vite à mon goût. Là, il me baisait de plus en plus vigoureusement, ramenant et éloignant mon bassin, pour son seul plaisir, sans que j’agisse. J’étais son jouet masturbatoire. J’entendais des gémissements. Les siens, les miens peut-être. Quelques mots me parvenaient, dans le sommeil où je plongeais : « bonne », « putain », « baiser », « ta chatte ».
    
    Ses mouvements se firent brutaux, au point que je basculai sur le ventre, tête dans le matelas. Il me plaquait les épaules sur le lit et me fourrait rapidement, m’ayant écarté les jambes autant que le permettait mon shorty baissé sur mes genoux. Le mouvement avait été assez prononcé pour que j’émerge un peu avant de replonger dans ma somnolence.
    
    J’étais désormais au bord de l’endormissement. Je ne percevais plus que les sensations vraiment fortes.
    
    Je sentais son bassin forcer davantage l’écartement de mes jambes, jusqu’à ce qu’une douleur me saisisse aux genoux et que j’entende, très lointain, un bruit de tissu déchiré. Je sentais aussi ses pénétrations, manifestement très brutales, mais lui je ne l’entendais plus. Avant le néant total toutefois, j’éprouvai son poids sur mes hanches, plus appuyé, des pulsations en moi, assez puissantes pour me distendre, et je perçus à nouveau sa ...
    ... voix : il devait crier. Des onomatopées, cris bruts, mais aussi « trop bonne », « prends ça », « pute soumise », « chatte à bite ». Mon contact avec le réel se rompit finalement sur une sensation de chaleur intense dans mon vagin et le mot « juter ».
    
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    Je ne sais depuis combien de temps je dormais, profondément, lorsque j’émergeai partiellement, revenant à un état de somnolence cotonneux.
    
    J’étais toujours dans la même position : sur le ventre, jambes écartées. Non, davantage écartées, et la tête tournée sur le côté droit. Je sentais un morceau de tissu dans le creux de mon genou droit. Vraisemblablement les restes de mon shorty déchiré. Je ne portais plus mon débardeur.
    
    Je contractai machinalement mon entre-jambe : une sensation cartonnée me collait à la peau, résultat de fluides séchés, montant de la moitié de mes cuisses jusqu’à mon sexe. Même sensation sur le bas de mon dos, autour de mes lèvres, sur mon visage (j’avais dû dormir un certain temps, pour qu’il ait le temps de… se répandre autant en moi et sur moi). Toutefois, une partie restait humide entre mes jambes, à l’entrée de ma chatte, dans les plis de mes lèvres intimes.
    
    Je compris ce qui m’avait réveillée : le son d’une vidéo porno. A ce que je percevais vaguement, une fille gémissait fort et suppliait en anglais quelqu’un d’arrêter, que c’était trop gros pour elle, qu’elle avait mal. Les inflexions de voix et la mauvaise qualité sonore n’évoquaient pas ...
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