Douce nuit, contrainte nuit (1)
Datte: 01/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Mir, Source: Xstory
(pas de gros trash, de la simple soumission)
J’étais allongée, m’endormant vaguement. Il m’avait toujours fallu beaucoup de temps pour plonger dans le sommeil, en général très progressivement. Je passais par plusieurs états de semi-conscience avant la nuit totale. Mon copain avait l’habitude d’en plaisanter : il disait que j’étais capable de parler, dans ces moments-frontières, sans en avoir le moindre souvenir au réveil. Mais ensuite, une fois endormie, bien peu de choses parvenaient à me tirer du néant.
Ce jour-là mon copain était venu passer la soirée et la nuit à la maison, mais vu mon état de fatigue nous étions rapidement allés nous coucher. J’avais mon débardeur habituel et mon shorty pour dormir.
Je me blottis contre lui, mon dos dans le creux de son torse, et fermai les yeux. Il passa doucement les mains sur mes seins ; il savait que j’aimais sentir ses caresses pendant mon assoupissement. Mais cette fois, c’était différent. Il avait insisté avant pour que nous fassions l’amour, j’avais refusé : journée trop fatigante. Il avait renoncé à me convaincre mais je sentais son sexe un peu tendu contre mes fesses. Ses mains pétrissaient ma poitrine avec plus de vigueur que d’habitude. Il touchait délicatement mes lobes, glissait sur toute leur surface, puis les malaxait, avant de reprendre des caresses plus douces. Ensuite il pinçait vivement à plusieurs reprises mes tétons, revenait masser mes auréoles et enfin s’attardait sur l’ensemble de ma poitrine. Il finit ...
... par relever mon débardeur, rendant les sensations plus vives sur ma peau nue.
Habituellement, il me soumettait à ce traitement pour m’exciter. Mais ce soir-là, j’étais bien trop épuisée pour réagir.
Il grommela dans mon dos et commença à légèrement se frotter contre moi.
- Allez, ce serait bien… Tu m’excites, là… Ce n’est pas un problème si tu dors à moitié ; tu m’as déjà dit que c’était un fantasme : baiser en dormant.
Dans mon état de mi-conscience (pour le moment plus près de l’éveil que du sommeil), je sentais son érection durcir contre moi. Il abandonna quelques instants mes seins pour baisser mon shorty au niveau de mes genoux et dénuder son pénis, ce que je compris lorsqu’il revint se coller à moi : je sentis sa hampe s’insinuer entre mes fesses, verticalement. Il entama un lent mouvement de masturbation, en reprenant ses caresses sur ma poitrine.
- Tu sais, ce n’est pas grave si tu ne fais rien, je peux m’arranger comme ça.
Je tentais de bouger un peu et de me dégager : lorsqu’il pinçait mes seins, cela devenait douloureux. Il me laissa m’éloigner de quelques centimètres, puis m’entoura d’un bras et descendit entre mes jambes. Plaçant sa main sur mon sexe, il m’enfonça un doigt et me replaqua contre lui.
- Voyons, frileuse comme tu es, tu ne vas pas passer la nuit loin de moi, non ?
Son pénis était de retour contre moi.
J’entendais maintenant ses halètements, légers. Sa main venait d’abandonner mon sexe pour soulever ma cuisse. Il glissa la ...