Douce nuit, contrainte nuit (1) - Histoires de Sexe

Douce nuit, contrainte nuit (1)

... hampe de sa queue entre mes jambes, le long de ma chatte et laissa délicatement ma jambe redescendre. J’enserrai ainsi involontairement son sexe entre mes cuisses. Sous la sensation, il grogna de satisfaction.

- Voilà, comme ça c’est mieux, ne bouge plus maintenant : c’est absolument parfait.

J’essayai tout de même vaguement d’envoyer une main en arrière et de le repousser, mais il avait entamé des va-et-vient avec son bassin, utilisant l’espace étroit entre mes cuisses pour se faire plaisir.

- Qu’est-ce qu’il a ? Tu ne veux pas ? Tu n’as qu’à le dire et j’arrête…

Après avoir un peu tâtonné entre nous deux, je renonçai. Malgré moi, mon sexe commençait à s’humidifier et je préférais le laisser se masturber ainsi que de me forcer à me réveiller complètement.

Je glissais un peu plus dans le sommeil, abandonnant davantage le contrôle.

- Ma chérie, c’est bon entre des cuisses, tu me rends de plus en plus dur. Je vois que ça te plait.

Je sentais ma cyprine couler de mon sexe jusque sur le sien, facilitant le coulissement. Une de ses mains pétrissait mes deux seins, alternativement, l’autre était revenue sur mon sexe, caressant doucement mon clitoris.

J’avançais davantage sur le chemin du sommeil, perdant de plus en plus contact avec la réalité : je ne percevais plus les bruits nocturnes de la ville, ni la lumière verte de la box internet qui filtrait jusque-là à travers mes paupières. Je l’entendais juste, lui, haleter de plus en plus fort, et je ne sentais ...

... plus que ses attouchements sur moi. Même le contact des draps de lit contre mon corps semblait s’estomper.

Il cessa ses mouvements, plaqué contre mon dos. Son pénis s’immobilisa, en pleine érection, entre mes cuisses, le gland émergeant sans doute. Il arrêta aussi de masser mon clitoris. Je sentis alors ses doigts saisir son gland et le diriger entre les lèvres de mon sexe, jusqu’à l’insérer. Il glissa sans peine en moi, malgré mes jambes serrées, tant j’étais lubrifiée.

- Aaah oui là c’est bon. Tu es sacrément excitée, pour que je rentre aussi facilement !

Je m’entendis marmonner :

- Hummmpf, pas ce soir, j’avais dit…

Il avait commencé à s’activer dans mon sexe en mordillant mon cou.

- Désolé ma chérie, je n’ai pas compris, tu peux répéter ?

Je bougeai vaguement une jambe, un bras, ne sachant moi-même quel mouvement j’avais l’intention de faire, et renonçai à parler.

Un bruit de succion mouillé ponctuait ses allers-retours en moi : chaque insertion et retrait de son pénis. Mon corps bougeait au rythme du sien, subissant ses mouvements, inerte. Je m’entendis vaguement gémir, je crois. Je ne suis pas sûre.

Il avait attrapé mes hanches. Habituellement je passais au-dessus de lui : soit je le chevauchais, soit il s’asseyait et je me positionnais face à lui, venant m’insérer sur son pénis. Dans le premier cas je posais ses mains sur mes seins et l’incitais à me caresser ; dans la seconde position je plaquais sa tête sur mes lobes en lui murmurant de me ...