1. Faouzia, femme flic Deuxième partie : la triste hi


    Datte: 30/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Auteur: proxxx6, Source: xHamster

    ... actionnée à distance. Lui et ses trois collègues moururent sur le coup. Tandis que la deuxième voiture essuya un feu nourri de fusils mitrailleurs. Il n’y eut aucun survivant. Quand j’appris la nouvelle, je tombais en syncope et plongeais dans une forte dépression nerveuse.
    
    « Je mis un temps fou à sortir de ma dépression. Je passais trois mois à l’hôpital militaire d’Oran – section psychiatrique – et ne repris le service, à la police des frontières de l’aéroport, qu’au bout d’une année.
    
    - Voila toute mon histoire. Elle n’est pas belle. Le pire c’est que je ne regrette rien de mon comportement d’esclave de Salah. Si c’était à refaire, je le referais sans hésiter une seule seconde ! Je ne suis pas normale, n’est-ce pas ?
    
    - Non tu étais simplement amoureuse d’un homme hors normes. Il t’avait subjuguée ! Et tu avais besoin de la protection d’un homme fort ; comme tu en as encore besoin aujourd’hui !
    
    - Tu ne m’en veux pas ? Tu me trouves normale ?
    
    - Bien sûr que tu es normale ! Ne te mets surtout pas la pression et ne fais aucun complexe de culpabilité. Dis-toi une seule chose : tu as été heureuse avec lui. C’est absolument tout ce qui compte !
    
    - Tu m’épouserais vraiment, si j’étais libre de me marier ave toi ? Tu ne me rappelleras jamais mon passé et ne me traiteras pas comme une pute ?
    
    - Arrête tes conneries ! Dis chiche ! et dès demain, je me rends en Kabylie chez tes parents, pour demander ta main !
    
    Elle me fit un superbe sourire de bonheur. Ce que je ...
    ... venais de lui dire - et qui était vraiment sincère - lui avait rendu sa confiance en elle. Elle savait maintenant qu’on pouvait l’aimer telle qu’elle était, avec ses bons et mauvais côtés. Elle se blottit encore plus étroitement dans mes bras et m’embrassa sur tout le visage en commençant par la tête (comme cela se fait encore dans certains coins du pays, en signe de respect !) puis sur le front, les yeux, les joues, le nez, le menton, le cou. Je voulus prendre sa bouche pour lui appliquer un baiser mouillé. Elle éloigna sa tête et me fit à l’oreille, tout doucement, comme si elle avait honte de ce qu’elle me proposait :
    
    - Encule-moi !
    
    - Tu veux vraiment ? Tu aimes la sodomisation ? Tu l’as souvent pratiquée avec Salah ?
    
    - Non pas avec lui ! Il n’a jamais voulu. C’est encore un des traits bizarre de sa personnalité : il m’a dit un jour qu’il n’aimait que les culs des jeunes garçons. Je n’avais pas cherché à comprendre, craignant de me trouver en face de choses inavouables. La seule fois que j’ai été enculée, c’était cette fameuse nuit.
    
    J’embrassais ma mie sur les joues, tout en l’allongeant sur le dos. Je lui fis lever les jambes très haut de manière à avoir ses deux orifices sous les yeux. Je voyais sa merveilleuse chatte ouverte et offerte et, en dessous, l’anneau sombre de son cul qui palpitait. Je plongeai la tête entre ses cuisses pour embrasser son anus, le lécher et le remplir de salive. Quand je jugeai que l’entrée était assez mouillée, je positionnai le ...