1. Le rire du sergent


    Datte: 28/03/2021, Catégories: fh, uniforme, entreseins, Oral pénétratio, Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe

    ... avec les autres appelés, impatient que l’heure n’avance. Un peu avant 22 heures, je laissai mes camarades pour traverser l’hôpital par le chemin le plus discret possible jusqu’à la grille du casernement féminin. Je connaissais déjà les lieux pour y être venu plusieurs fois avec d’autres garçons boire un verre offert par une volontaire. Mais là, l’excitation et la peur avaient doublé en raison du but de ma visite : une partie de jambes en l’air avec un sous-officier doté d’une paire de seins exceptionnels.
    
    Je scrutai les alentours du casernement une dernière fois, m’assurant que personne ne me verrait entrer, puis me lançai d’un coup pour franchir les grilles, puis la porte du paradis. La salle télé des filles était fermée et elles ne me virent pas passer. Je montai les escaliers quatre à quatre, puis marchai à pas de velours dans le couloir. J’arrivai devant la dernière porte du couloir, dont la fenêtre donnait sur la maison du médecin-général. Je frappai trois petits coups à la porte.
    
    Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit sur mon sergent qui m’invita à entrer vite.
    
    — Rentre vite, me lança-t-elle dans la pénombre.
    — Merci, répondis-je, en passant tout près d’elle.
    — Personne ne t’a vu ?
    — Non. J’ai fait attention.
    
    À peine la porte fermée derrière moi, elle s’approcha de moi et m’embrassa en me prenant par la taille. Nous repartîmes dans de longs baisers langoureux, puis je l’emmenai vers son lit, tout près. Elle s’allongea et je la découvris, toujours ...
    ... dans la pénombre, en robe de chambre d’un genre satiné et dans un tee-shirt long et blanc qui lui servait de chemise de nuit. Je m’allongeai au-dessus de son visage angélique et la contemplai des pieds à la tête en devinant ses gros seins sous son tee-shirt. Ses cuisses rondes et pleines étaient déjà écartées sous moi et sa culotte blanche et classique cachait son petit ventre rond.
    
    Tout en l’embrassant, j’ouvris sa robe de chambre puis lui soulevai son tee-shirt jusqu’au cou. Malgré la pénombre je découvrais parfaitement ses deux magnifiques et énormes seins. Je me redressai et les pris à pleines mains quelques instants, avant de les embrasser sauvagement. Ils étaient plus beaux que la veille et m’excitaient terriblement. Après quelques minutes, nous nous retrouvâmes nus sur son lit. Mes mains s’étaient aventurées dans son entrecuisse et ses petits gémissements me rendaient encore plus chaud.
    
    — Fais-moi l’amour, me chuchota-t-elle. Viens.
    
    Mon sexe était déjà tendu depuis longtemps et j’entrai en elle doucement et facilement. Mon entrée lui arracha un râle encourageant, puis j’entrepris un va-et-vient lent et tendre.
    
    — Oui… Oui… se laissa-t-elle aller. Vas-y… Oh oui
    — Tu aimes ? lui demandai-je en haletant.
    — Oui… C’est trop bon… Vas-y. Continue.
    
    J’accélérai progressivement mon rythme et sentis le plaisir monter. Je faisais le maximum pour retenir mon éjaculation, mais après une dizaine de minutes, je fus contraint à m’abandonner dans les draps, la tête entre ...
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