1. Le rire du sergent


    Datte: 28/03/2021, Catégories: fh, uniforme, entreseins, Oral pénétratio, Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe

    ... et son tee-shirt blanc jusqu’au-dessus de ses seins. Ils étaient magnifiques, prisonniers d’un très beau soutien-gorge blanc. Je ne voulus pas me jeter dessus comme un barbare et me contentai de l’embrasser à nouveau tout en lui caressant ses seins. Elle semblait apprécier mes caresses. Elle fermait les yeux et soufflait la bouche ouverte, offerte. Mes baisers descendirent le long de son cou, puis arrivèrent sur sa poitrine. Quelle sensation de douceur et de générosité. Je n’osais pas lui enlever son soutien-gorge, mais embrassais à pleine bouche et la peau, et le tissu.
    
    Après de longues minutes de baisers, je ne pus m’empêcher de lui demander :
    
    — Viens, on va dans ta chambre, je n’en peux plus.
    — Sois patient me lança-t-elle. Tu y viendras, mais une autre fois. Et puis il est tard, on se lève tôt demain. Tu me raccompagnes jusqu’au casernement ?
    
    J’acquiesçai, déçu, en la regardant redescendre son pull et son tee-shirt. J’étais près à la prendre, là, sur le banc près des canards. Mais je restai gentleman et la raccompagnai jusqu’à la grille du casernement féminin. Nous nous embrassâmes une dernière fois. Je repartis ensuite vers mon casernement, déçu de n’avoir passé qu’une soirée d’adolescents.
    
    ***
    
    Le lendemain, en allant prendre mon déjeuner, je vis que mon sergent préféré était à la cambuse pour contrôler l’origine de ceux qui venaient prendre leur repas. Tous les hommes du rang, appelés comme engagés, la saluèrent en raison des galons qu’elle avait sur les ...
    ... épaules. Moi ce n’était pas ses galons qui m’avaient mis au garde-à-vous et lorsque mon tour arriva, nous nous sommes souris de manière encore plus complice que la veille. Elle contrôla ma carte, s’y attarda quelques instants, puis en s’assurant que personne ne nous regardait, me lança en chuchotant :
    
    — Je t’appelle ce soir.
    
    Je ne pus rien dire, mais clignai des yeux en lui souriant.
    
    Je fus perturbé tout le reste de l’après-midi, me demandant si c’était pour m’inviter dans sa chambre ou pour me faire comprendre qu’il n’y aurait pas de suite à notre petite soirée près des canards. Elle n’était pas à la cambuse pour le dîner. Je mangeai donc rapidement, rentrai au casernement, me douchai, m’habillai le mieux possible, puis me postai dans la salle télé du casernement, près du téléphone.
    
    Plusieurs coups de fils arrivèrent, mais pour des appelés, que je m’efforçai de chercher dans les étages du casernement histoire de gagner du temps. Puis vers 20 h 30, l’appel que j’attendais arriva :
    
    — Allô ?
    — Oui allô, pourrais-je parler au matelot Y, s’il vous plait ?
    
    J’avais reconnu sa voix et sentis mon cœur battre la chamade.
    
    — C’est moi. Comment vas-tu ? lui demandai-je.
    — Bien merci. Tu veux toujours venir dans ma chambre ?
    — Bien sûr, c’est quand tu veux.
    — Dans une bonne heure, je t’attends. Ma chambre est au premier étage, tout au fond, à droite.
    — OK, lui répondis-je sur un ton assuré. À tout à l’heure.
    
    Après avoir raccroché, je repartis regarder la télé ...
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