Le rire du sergent
Datte: 28/03/2021,
Catégories:
fh,
uniforme,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Auteur: Jim Ouest, Source: Revebebe
... arrivants. L’ambiance surchauffée et l’alcool aidant, mon sergent commença à avoir chaud et retira son pull beige pour se mettre à l’aise. Le vêtement à peine posé sur la banquette, elle repartit danser façon hard rock. Le spectacle de sa grosse poitrine qui swinguait sous son tee-shirt me bouleversa. Remarquant les regards des garçons qui dansaient autour, je décidai de me rapprocher pour danser avec elle et marquer une nouvelle fois mon territoire. Elle continuait à secouer volontairement ses cheveux longs, et involontairement ses énormes seins. Elle me souriait souvent en me regardant danser.
Au bout de quelques morceaux endiablés, le rythme se calma vers deux heures du matin, pour laisser la place à un slow classique de Maria Carey. Katia et moi nous regardâmes et je l’invitai en lui tendant les deux mains. Elle me sourit, prit mes mains, et se colla directement contre moi avant de partir en rythme. Je sentis contre moi sa poitrine qui s’écrasait sur la mienne. La conséquence de ce collé-serré fut immédiate. Je ne pus refreiner une érection qu’elle ne put ignorer, car nos ventres étaient aussi serrés l’un à l’autre. Lorsqu’elle sentit mon désir, elle leva la tête, et me regarda dans les yeux d’un air amoureux. Je ne laissai pas passer l’occasion et l’embrassai fougueusement. Nos langues dansèrent aussi pendant le reste du slow. Mes mains restèrent sur ses hanches mais n’avaient déjà qu’une envie : partir en manœuvre.
Après deux ou trois slow, nous quittâmes le bar ...
... de nuit pour repartir vers l’hôpital, histoire d’être plus tranquille. L’enceinte de l’hôpital franchie, je lui posai la question :
— On va dans ta chambre ?
— Je ne préfère pas, me répondit-elle. Je viens d’arriver et je ne sais pas trop comment gérer tout ça.
— Je comprends. Viens, on sera tranquille là-bas, lui dis-je en lui désignant un petit parc.
Il faut préciser que dans cette unité pourtant très souple au niveau discipline, les casernements des garçons et des filles étaient séparés ; chacun à un bout de l’hôpital. Et si un garçon se faisait surprendre dans le casernement féminin, il encourait des sanctions allant jusqu’à la suspension d’une ou de plusieurs permissions. Nous nous sommes donc installés sur le banc du petit parc, juste au bord de la mare à canards. Très vite, nous ne fîmes plus attention aux canards et nous reprîmes nos baisers avec fougue. Mes mains passèrent sous son pull, puis son tee-shirt, pour caresser son ventre et quelques instants plus tard, ses deux gros seins. Je n’en avais jamais touché d’aussi gros. Leur effet sur ma virilité se fit vite sentir et je sentis mon sexe se gonfler rapidement.
— Tu es douce, lui dis-je entre deux baisers.
— Toi aussi tu es doux. Tu as l’air d’aimer mes seins ?
— Je les adore. Je n’en ai jamais touché d’aussi gros. J’aimerais bien les voir.
— C’est du 110 D, me répondit-elle en regardant autour de nous.
Quelques secondes plus tard, elle se mit face à moi, puis souleva en même temps son pull beige ...