1. Banquière perverse (18)


    Datte: 27/03/2021, Catégories: Trash, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... la maintiennent suspendue au plafond, elles ont marqué ses poignets ; il faut les clefs pour les ouvrir, où sont-elles ?
    
    — Donne-moi les clés des menottes ! hurlé-je à Lacksimy.
    
    — Vas te faire foutre, connard !
    
    — Donne-moi ces clés ou je te massacre !
    
    — Tu peux toujours les chercher, je les ai jetées ! De toute façon ça sert à rien vous allez crever tous les deux !
    
    Pas le temps de discuter, il faut ouvrir ces maudites menottes rapidement.
    
    — Ne bouge pas ma chérie, je vais te sortir de là !
    
    — Oh…mon amour sauve-moi, où suis-je ; j’ai mal, je n’en peux plus.
    
    — Accroche-toi, je t’en supplie ; ça ne va pas être long.
    
    Je tire sur les menottes, il faudrait que je me suspende à elles pour peut-être briser la chaine qui les relie au piton fixé au plafond. Je tire sur les deux, mais rien n’y fait, je réessaye, rien !
    
    « -Putain ! Ça m’Énerveee… ! Calme-toi et réfléchis ! » me dis-je
    
    L’idée serait qui si je tire sur une seule, et si j’y mets tout mon poids ; cela devrait marcher. J’essaie immédiatement et avec la rage au ventre, je tire d’un coup sec sur une menotte, puis deux et trois…puis dix fois et je ne sais pas combien de fois encore, et enfin elle cède !
    
    — Ça n’sert à rien tu n’arriveras pas à la tirer à temps, connard ! Tu vas t’endormir avant, j’ai mis un somnifère dans l’eau du café ! hurle l’hystérique qui essaie de se libérer.
    
    Elle gesticule dans tous les sens, elle me met encore plus la rage au ventre, et la traction que j’applique ...
    ... sur la seconde menotte est telle, qu’au second coup, elle cède. Enfin Gladice est libre et je la rattrape juste avant qu’elle ne s’effondre sur le sol jonché de nourriture, de toute sorte de choses et d’excréments.
    
    — Merci pour l’info pauvre conne, je n’ai pas encore bu mon thé et je ne chauffe jamais l’eau avec une bouilloire électrique ; alors ton somnifère tu peux te le carrer au cul ! Par contre, je vais mettre Gladice en sécurité et après ; je te promets que je vais m’occuper de ton Cas, et tu vas manger grave !
    
    J’ai déjà Gladice dans mes bras, même si elle est sale je lui fais un bisou sur les lèvres.
    
    — Je suis là, ne t’inquiète pas ma chérie, nous allons partir loin, je vais m’occuper de toi ; mais avant on va aller régler ça avec la patronne !
    
    Un coup d’œil pour vérifier que ma prisonnière ne s’échappera pas et je monte l’escalier avec Gladice dans les bras. Si je suis heureux d’avoir retrouvé ma chérie, je suis fou de rage et décide d’aller régler ça toute de suite avec la Patronne. Je me dirige vers sa chambre, je suis étonné que Madame ne se soit réveillée ni levée avec tout ce boucan !
    
    Gladice a enroulé un bras autour de mon cou et posé sa tête contre mon épaule. J’ai la hargne et j’ouvre la porte de la chambre de Madame d’un magistral coup de pied, la porte claque à grand bruit. Madame, réveillée en sursaut fait un bond dans son lit et crie de surprise, mais aussi de peur :
    
    — Ah ! Qu’est-ce que c’est ! Que se passe-t-il ? Au secours, Issam… !
    
    — ...
«1...3456»