1. Banquière perverse (18)


    Datte: 27/03/2021, Catégories: Trash, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    Rappel du chapitre précédent :
    
    L’appareil photo que Jelila m’avait offert me remplissait de joie, je pouvais maintenant assouvir ma passion de la photo. Je passais la journée entière à la Tour Eiffel pour y effectuer une quantité impressionnante de prises de vues que je pus transférer sur l’ordinateur équipé d’un logiciel photo. Au fil des heures, l’attente du retour de Gladice devenait presque insoutenable, comme je n’arrivais pas à dormir à cause des ronflements de Madame ; mais surtout par le tracas que provoque le retard de Gladice. Après avoir inspecté la maison sans rien trouver, je finis par m’installer sur un fauteuil dans le salon avec la porte ouverte pour surveiller les lieux, et m’endormis.
    
    — ooOoo —
    
    Mon portable vibre : c’est qui ; c’est quoi ? Tout simplement l’heure de se lever ! J’ai la tenue de rigueur et comme tous les matins, je bande. Ah…si Gladice était là ! … elle me ferait une belle pipe ! Puis je la caresserais et la prendrais avec douceur et amour, rien que cette idée me met le sexe à la verticale.
    
    Et si je ne l’avais pas entendue arriver ? Alors je refais pour la Nième fois le tour de la maison, mais hélas elle n’est toujours pas là. Je suis nerveux et de plus en inquiet, il y a quelque chose d’anormal dans tout ça ; douze heures de retard ! Cela ne lui ressemble pas, j’ai un mauvais pressentiment ; il lui est certainement arrivé quelque chose. J’ai beau chercher, je ne trouve pas quelle porte aurait pu claquer cette nuit ; à moins que ...
    ... ce ne soit pas une porte. Où peut-être que ce soit Madame … ? Je me rends dans sa chambre, j’ouvre discrètement la porte, nul besoin d’aller plus loin ; elle ronfle comme une baderne ! Je récupère au passage mes vêtements car il faut que j’aille à la boulangerie.
    
    Nous sommes mercredi et la boulangerie où je vais d’habitude est fermée, je suis donc obligé d’aller à trois pâtés de maisons de là. Il est 6 heures du matin, la boulangerie n’est pas encore ouverte ; alors je flâne un peu. Machinalement je regarde les voitures en stationnement pour voir un peu quel modèle pourrait me plaire, si j’avais les moyens de m’en acheter une ; je choisirais une sportive car j’aime les voitures de sport.
    
    Au détour de l’angle d’une rue j’aperçois une voiture qui attire mon attention. C’est une Fiat 500, et elle ressemble étrangement à celle de Lacksimy, même marque, même modèle, même couleur. Je m’en approche et inspecte l’intérieure ; j’ai le sentiment que c’est celle de la fille de la banquière. J’en fais le tour et un détail me saute aux yeux, une bouteille d’eau est posée au sol devant le siège passager, mais pas n’importe laquelle : de la San Pellégrino Aranciata Rossa ! Cette marque est peu courante, maintenant je suis maintenant certain qu’il s’agit bien de la bonne voiture. Alors que je regarde à l’intérieur quelqu’un me tape sur l’épaule et me hurle :
    
    — C’est à vous, cette bagnole de merde !
    
    — D’abord Bonjour Monsieur !... Non, je suis désolé elle n’est pas à moi ! Mais ...
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