1. Banquière perverse (18)


    Datte: 27/03/2021, Catégories: Trash, Auteur: Pikatchu, Source: Xstory

    ... Que tu aies mal, j’en ai rien à branler ! Et tu me dis qu’il n’a rien fait, lui ? Ma mère lui achète tout ce qu’il veut : des fringues, des godasses, des costumes et même un téléphone ; et en plus le meilleur du marché et le plus cher. Et en plus il la baise à tour de bras et le comble ! C’est qu’elle en est tombée amoureuse ! Et pendant ce temps elle m’envoie en stage loin pour que je ne sois pas au courant de rien. Tu appelles ça rien fait ? Tu plaisantes !
    
    — Pitié, je vous en prie, Non ! Ne faites pas ça…
    
    — Si je vais le faire ! Tu vois ce sécateur c’est pour te couper tes jolis tétons que je vais mettre au fond de son bol de café. Il les découvrira que quand il en aura bu la totalité et cinq minutes après il dormira, car j’ai foutu un puissant somnifère dans la bouilloire. Après, je vais le tirer jusqu’ici, et l’attacher là ; à poil. Quand il se réveillera, il te verra et pourra aussi t’admirer en train d’agoniser doucement, car je te réserve de jolies surprises. Mais ne sois pas inquiète, il aura aussi sa dose, je vais lui couper les couilles et la bite que je te ferais bouffer.
    
    — Mais arrêtez, vous allez aller en prison ! Et votre mère, vous y pensez ? Je vous en prie ; laissez-nous partir et nous disparaitrons à tout jamais.
    
    — C’est trop tard ! Et ne t’inquiète pas pour moi, actuellement je suis en Allemagne ; j’ai tout prévu. Quant à ma mère ne t’en occupe pas, Ok !
    
    — Non ! Arrêteee… ! Vous êtes folle, non ne faites pas ça, pas à lui… ou tuez-moi ...
    ... maintenant.
    
    — Quel beau sacrifice ! Quel courage ! T’es amoureuse de lui ?
    
    — Oui, mais pitié !
    
    — Trop tard ! Il fallait y penser avant ! Je commence par lequel ?
    
    — Noonnn… !
    
    Puis plus rien, je n’en peux plus ! Je prends mon élan et défonce la porte d’un coup d’épaule. Elle cède ! Je me retrouve face à Lacksimy l’air menaçante avec un couteau d’une main et le sécateur de l’autre. Elle hurle :
    
    — Mais putain ! C’est quoi ?
    
    — Holà ! Mais t’es malade ! Arrêt-ça !
    
    — Casse-toi, ou je te crève !
    
    Elle tente de me planter le couteau dans le bide, je dévie le coup et lui colle une droite qui la propulse contre le mur, elle chancelle ; sonnée, elle glisse au sol. Je regarde sur le côté et découvre : Gladice …!
    
    Elle est entièrement nue, suspendue au plafond par des menottes. Elle fait pitié à voir, elle est sale et semble affaiblie ; tout son corps est couvert de marques étranges. Elle lève les yeux vers moi, me regarde ; une lueur d’espoir se lit dans son regard. Elle essaye de me sourire, mais c’est une grimace de douleur que je reçois. Dans le local ça pue l’urine et la merde, c’est horrible ; ma pauvre chérie…
    
    Une immense colère monte en moi. Sur le coup, j’ai envie de massacrer cette tortionnaire qui a fait souffrir ma chérie ; mais la raison l’emporte. Rapidement je l’attache avec des liens trouvés au sol, car cette chose en noir est en train de se réveiller ; je l’immobilise solidement puis je m’apprête à détacher Gladice.
    
    Je regarde les menottes qui ...
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