Prison pour femmes, passions inavouables 2
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
ff,
volupté,
ecriv_c,
Auteur: Nicky Gloria, Source: Revebebe
... ouvert, à même la peau. Françoise reçut la caresse d’un long gémissement et se serra davantage contre sa partenaire.
Ivres de désir, elles se caressaient avec une fougue grandissante, et Françoise émit des petits cris de bonheur lorsqu’elle sentit enfin la main de sa maîtresse se refermer doucement sur son sein gauche. Ce contact les électrisa toutes les deux, plus particulièrement Claire qui découvrait pour la première fois le corps d’une femme. Brûlante de désir, elle prit l’initiative de défaire les boutons qui restaient au bas du vêtement, admirative et bouleversée à chaque centimètre de peau nue qu’elle dévoilait. Françoise la déshabilla à son tour. Leurs habits atterrirent tout près d’elles et, enfin nues et haletantes, elles se contemplèrent un instant, les yeux brillants, pâmées et éblouies par ce formidable désir qui passait dans leurs yeux… le plaisir du regard qui ne fit qu’accroître leur envie de s’aimer.
Françoise craqua la première, elle l’enlaça violemment et la plia hâtivement sous elle. Tandis qu’elles roulaient ensemble sur l’herbe, leurs lèvres se retrouvaient avec délice, se dévorant frénétiquement. Françoise se dépêcha de couler une main le long du ventre plat pour effleurer une hanche frémissante et s’aventurer sur la peau veloutée de l’aine. Elle demeura un instant sur la chair palpitante, d’une incroyable douceur, affolant Claire d’une caresse lente et progressive, tournant autour du triangle blond de son sexe. Claire, hors d’elle, tremblait de ...
... tout son corps, elle creusait les reins et ouvrait les cuisses avec impatience, soulevant ses fesses pour se porter au-devant des tendres doigts. Répondant à son attente, Françoise avança la main sur la toison secrète et se faufila entre les poils pour aller plus bas, au coeur même de la féminité brûlante. Ses doigts glissèrent aussitôt dans un calice de chair moite, avec une facilité qui en disait long sur l’état d’excitation de sa partenaire.
En effet, Claire émettait des petits sanglots extasiés, s’accrochant comme une naufragée aux épaules de sa partenaire qu’elle mordait tendrement quand elle ne l’embrassait pas dans le cou. En même temps, elle se tordait en tout sens, remuait nerveusement les jambes, tournait la tête de gauche à droite…
Elle souleva son bas-ventre avec plus de furie encore lorsque Françoise se mit à fouiller son sexe brûlant avec plus de dextérité. Sans pitié, elle ne cessa pas de la caresser en glissant le long de son corps, appuyant sa descente de baisers et de morsures sur chaque millimètre de peau qu’elle dévorait goulûment.
Enfin elle allait prendre possession du sexe trempé et ouvert, impatiente de s’y désaltérer et de s’y enivrer jusqu’à la folie, lorsqu’elle se sentit brusquement tirée par les cheveux.
Déstabilisée par cette attaque brutale, Françoise partit en arrière, se laissant aussitôt rouler sur le côté pour s’éloigner vivement de l’agression. Déjà elle avait retrouvé ses esprits, prête à se battre jusqu’à la mort et résolue à ...