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Faouzia, femme flic Première partie : ma rencontre
Datte: 27/03/2021, Catégories: Humour Hardcore, Anal Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... faisceaux concentriques dans tout mon bas ventre. Ce n’était pas une douleur désagréable, ni insupportable ; elle était au contraire légère et agréable. C’était comme si elle - la douleur - me disait : « plus tu auras mal, plus l’orgasme qui suivra sera intense ! » Faouzia était en extase devant la bête. Elle s’était mise à genoux devant elle et la prit dans sa main droite pour la palper et tester sa dureté ; - Ouah ! Il doit bien avoir trente centimètres ! Et je n’arrive pas à le prendre complètement dans ma main ! J’ai hâte de le sentir en moi ! - Embrasse-le d’abord ! Elle fit mieux que l’embrasser. Elle le lécha sur toute sa longueur et sa superficie ; y compris sur les bourses. Elle titilla longuement le gland tuméfié, en forme de tête de champignon. Elle sentait que qu’il piaffait d’impatience et qu’il voulait pénétrer un nid chaud et humide. Elle ouvrit brusquement sa grande bouche en y introduisit délicatement le gland qui disparut derrière ses lèvres. Elle le suça un moment, tirant de moi mes premiers gémissement de plaisir de la soirée. Elle leva les yeux pour me regarder prendre du plaisir dans sa bouche. J’attrapai sa nuque à deux mains pour empêcher sa tête de s’échapper et appliquai une forte poussée à mes hanches pour faire pénétrer l’engin au fond de la bouche et dans la gorge. La sensation de chaleur et d’humidité était divine ; comme était divin le frottement du gland contre les parois buccales et l’entrée de la gorge. J’étais conscient que ...
... les dimensions exceptionnelles du gland allaient l’empêcher de bien respirer s’il restait trop longtemps au fond de sa gorge. Je ne restai au fond qu’une fraction de seconde ; juste le temps de ressentir cette sensation si agréable de rencontrer un obstacle (la glotte) et de regarder ma partenaire réprimer une très forte envie de vomir (C’est un peu mon côté pervers !). Je faisais reprendre à mon membre le chemin inverse et le faisais sortir totalement de la bouche, avant de repartir de l’avant. J’adorais regarder le manche sortir totalement de la bouche de Faouzia et repartir en force à l’intérieur. J’étais au paradis. Surtout que ma maîtresse faisait tout pour ne pas me faire mal avec ses dents qu’elle avait écarté au maximum, malgré qu’elle commençait, de toute évidence, à fatiguer. Mon côté pervers y trouvait une grande satisfaction. Elle avait gardé la main sur mon manche et accompagnait ses allers-retours par une branlette magnifique. Sa main allait et venait sur le manche en appliquant une forte pression sur le gland quand il sortait d’entre ses lèvres. Je sentais qu’à ce rythme je n’allais pas tarder à jouir et à décharger tout le foutre qui était en moi. Le spectacle qui se présentait à moi, dont j’étais en même temps acteur et spectateur, était d’un érotisme torride : ma belle levait les yeux vers moi pour voir où j’en étais dans l’intensité du plaisir que je prenais dans sa bouche. Ses yeux me suppliaient de faire vite et de jouir rapidement, tant elle était ...