Faouzia, femme flic Première partie : ma rencontre
Datte: 27/03/2021,
Catégories:
Humour
Hardcore,
Anal
Auteur: proxxx6, Source: xHamster
... rien donné encore !
- Nous avons tout le temps, ma grande ! Ne t’en fais pas, je vais prendre ma part de plaisir ! Beaucoup plus que tu ne crois ! Je sais maintenant que tu n’as pas de tabous en matière d’amour ! Moi non plus ! Nous avons été créés pour baiser ensemble et jouir comme des bêtes ! D’ailleurs, nous allons commencer tout de suite !
Je venais de me rendre compte que j’avais gardé tous mes habits. L’idée me vint de me faire déshabiller par elle. J’ai toujours aimé me faire déshabiller par une femme, elle-même complètement nue. J’aimais qu’elle le fasse lentement en commençant par les souliers, puis par la veste, la chemise et tout le reste. J’aimais les caresses – volontaires ou non, prononcées ou légères – qui accompagnaient l’opération d’effeuillage. Je le dis à Faouzia qui ne se fit pas prier. Elle me fit assoir au bord du lit pour s’occuper de m’enlever les souliers et les chaussettes. Elle fit alors une chose qui m’avait vraiment ému : elle prit un pied pour le caresser et l’embrasser (comme je l’avais fait pour elle auparavant). J’étais gêné, parce que je pensais qu’elle ne le faisait que pour me rendre la pareille.
- Tu n’as pas besoin de faire cela ! Moi j’ai toujours aimé les pieds de femmes, quand ils sont mignons, beaux et soignés comme les tiens. Ils font partie de mon univers érotique. Mais je sais toute la signification péjorative qui accompagne le geste d’embrasser les pieds de quelqu’un dans notre société. Tu n’as donc pas à t’efforcer à ...
... le faire.
- Qui te dis que je m’efforce à quoi que ce soit ! Il s’agit d’une envie irrépressible que je ne veux pas inhiber. Je refuse de me contraindre à quoi que ce soit en amour.
Délicieuse Faouzia ! Elle me fit lever du lit pour me mettre debout en face d’elle, pendant qu’elle s’occupait de m’enlever la veste, puis la chemise en dégrafant, l’un après l’autre chaque bouton, sans se presser. Je ne portais pas de maillot de corps ; elle dénuda ma poitrine, resta un moment silencieuse à contempler le spectacle d’une poitrine velue, de pectoraux de sportif et d’un ventre plat.
- Tu es beau ! fit-elle avec un sourire gourmand. J’espère que le reste est du même acabit !
Elle s’occupa sans plus attendre de m’enlever le reste. Elle dégrafa la ceinture, déboutonna le pantalon, ouvrit le zip de ma braguette et se mit à descendre le tout, slip compris, jusque sur mes genoux. Elle s’arrêta à la vue de l’immense bâton dressé, à la verticale, comme un mât de tente. J’étais tellement excité que mon sexe avait atteint des dimensions incroyables. En fait, je n’avais pas débandé depuis le moment où je m’étais mis à lui caresser la poitrine. Et plus le temps passait et plus mon désir d’elle grandissait et plus le monstre continuait de gonfler. J’avais même peur qu’il ne finisse par éclater ! Maintenant qu’il se trouvait à l’air libre, il piaffait d’impatience et était secoué de temps en temps par des contractions involontaires et douloureuses. La douleur irradiait alentour par ...