1. Sous la pluie


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, sm, nostalgie, occasion, fbi, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... jouissance se mêlant. Lorsque le réveil sonne, le jeune homme est exténué. La douche et le petit-déjeuner ne lui permettent pas de retrouver l’intégralité de ses esprits.
    
    Alors qu’il est sur le point de quitter l’appartement, Leïla vient se coller à lui et s’agrippe en passant ses cuisses autour de sa taille. S’il lui restait quelque vigueur, il se ferait un plaisir de prendre la belle debout, à la va-vite, sans préliminaires ni précautions. Cependant, il n’est plus capable de bander : sa queue est irrémédiablement flasque, presque douloureuse.
    
    Jacques se soustrait à sa maîtresse et part au travail. Leïla, pensant prendre un train en fin d’après-midi, vaque dans l’appartement dans cette nudité indécente qu’elle aime tant. Elle jette un œil sur les livres disposés dans une petite bibliothèque rustique. Elle tire un livre sans titre ni auteur sur la tranche, et découvre en ouvrant l’ouvrage « Les 120 journées de Sodome, ou l’École du libertinage. » du marquis de Sade. Elle va s’allonger sur le lit et commence sa lecture :
    
    Elle est en pleine lecture lorsque la porte de l’appartement s’ouvre. C’est Jacques qui n’a été absent qu’une heure. Il découvre Leïla allongée sur le lit, nue et se branlant activement, sa lecture l’excitant. Elle le regarde entrer sans arrêter l’action de ses doigts le long de la fente gorgée de sang, et particulièrement au niveau de son clitoris.
    
    — Tu tombes bien, mon chéri : j’ai vraiment besoin d’une grosse pine au fond de mon con. Cet ...
    ... ouvrage du divin marquis que j’ai découvert dans ta bibliothèque m’a bien émoustillée. Viens et prends-moi sauvagement. Je ne veux pas de douceur ; je veux te sentir bien profondément, que tu me ramones.
    
    Il identifie tout de suite le livre que lit la jeune fille, se met à poil, le membre déjà tendu, et se jette littéralement sur elle. Il lui dit, paraphrasant le marquis de Sade :
    
    — Comme Justine, je vais te fustiger ; tu vas apprendre ce qu’est la douleur. Tu n’expieras pas pour ta vertu, mais pour ton impudence. Tu veux que je fasse comme son bourreau et que je t’attache à un arbre ?
    — Oh, oui, plante-moi ta queue… Oh oui !
    — Je vais tout faire pour que tu aies plus longtemps à souffrir. Tu seras nue aux yeux de tous, attachée à cet arbre. Et je dirai ironiquement : « Les belles fesses ! Les superbes chairs !… L’excellent déjeuner pour mes dogues ! »
    — Qu’ils me lèchent de leur longue langue râpeuse…
    
    Disant cela, Jacques pétrit les fesses charnues avec brutalité et vient s’enfoncer dans l’anus de Leïla qui goûte autant les attouchements que le récit des sévices de Justine.
    
    — On te regardera, on rira de ta contenance ; tous viendront peloter ton corps sans défense. Ce sera avec dureté qu’on te touchera, pelotera ; des mains aussi violentes que la dent acérée des chiens. Les chiens que je lancerai sur toi.
    
    Jacques perfore le cul de la jeune fille avec vigueur, oubliant toute précaution, toute douceur. Il se déchaîne comme le font les chiens qui s’attaquent à ...