1. Alicia et son papa (4)


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... Monsieur.
    
    Merde, je savais que j’aurais du mal, mais que je suis conne ! Je dois l’appeler Monsieur, c’est pas dur... Ouais, sauf que toute ma vie je l’ai appelé papa ! Je n’ai pas fini de me tromper et de paraître ridicule. Mais ça lui fait plaisir, je le vois revivre enfin, après tous ces mois de détresse. Le seul problème, c’est qu’il est fichu de me punir si je commets trop d’erreurs.
    
    Je dépliai la robe, c’était une de maman. À porter sur un maillot de bain, à la plage. Très courte, en coton blanc, tenant par six gros boutons noirs sur le devant. Je la passai et la boutonnai, m’examinant d’un œil soupçonneux dans une porte miroir : c’était bien ce que je craignais, elle ne cachait pas grand-chose et suggérait ce qu’elle masquait. Quant à mon visage, il était maculé de coulures de sperme, j’en avais même dans les cheveux !
    
    Anxieuse, je regardai papa, qui ricana en réponse.
    
    — Tu as vraiment l’air d’une salope, dans cette tenue. Allez, file et fais marquer les courses sur la note !
    
    — Je peux enlever le p... plug ? S’il te plaît, enfin s’il vous plaît, Monsieur. J’ai peur qu’il tombe dans la rue.
    
    — Tu n’auras qu’à serrer les fesses. Allez, file, ma patience a des limites.
    
    Dire que le week-end a été difficile serait un euphémisme. Papa m’a sodomisée matin, midi et soir, sans trop de tendresse et sans pitié pour mon pauvre anus complètement démoli. J’utilisais son lubrifiant ...
    ... pour calmer la douleur, avant et après. Les deux matins il a frappé mes fesses à coups de ceinture, dix fois bien forts, pour le plaisir de voir mon cul marqué. Il trouva quand même le temps de me faire épiler intégralement le samedi après-midi et de me donner des cours de fellation, comme il disait. Le dimanche, juste avant le déjeuner j’ai eu droit à une longue fessée, commencée à mains nues et finie au martinet. Je ne sais combien de coups il donna, en tout cas je pleurais comme une madeleine longtemps après qu’il a arrêté de frapper.
    
    J’ai ensuite passé un long moment à genoux face au mur du salon, les mains sur la tête, pendant qu’il mangeait et buvait un café. Autant dire qu’après je filais doux, attentive à obéir au doigt et à l’œil aux ordres de mon père. Le soir, après m’avoir sauvagement sodomisée pendant près d’une heure, il m’a tendu un nouveau plug qui m’a fait hoqueter de frayeur : en acier, l’œuf était aussi gros que mon poing.
    
    — Tu te pommades le conduit, ça te fera du bien. Puis tu t’enfonces ce joli sex-toy ; je veux que tu le portes cette nuit et tout demain.
    
    — Mais, je travaille demain !
    
    — Tu m’énerves, idiote. Tu mettras un de tes jeans par-dessus, voilà tout ! Au fait, c’est demain que tu dois voir Monsieur Rodriguez ?
    
    — Oui, à 10 heures ;
    
    — Tu as intérêt à être obéissante et gentille avec lui. Je ne veux pas qu’il se plaigne une nouvelle fois de ton attitude. 
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