1. Alicia et son papa (4)


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    Cette nuit-là, il jouit encore deux fois dans mes reins. La dernière, comme il l’avait annoncé, c’était moi qui l’avais supplié de m’enculer. Il l’avait fait avec férocité, brutalement. Comme il avait déjà joui, il avait acquis beaucoup d’endurance. Alors il en avait profité pour me prendre dans diverses positions. D’abord à genoux contre le lit, comme lors de mon dépucelage anal, comme il disait.
    
    Puis contre un mur, me faisant décoller du sol me soulevant à la force de son épieu planté jusqu’à la garde. Puis couchée par terre, lui m’écrasant de tout son poids, moi cambrée et écartant mes fesses des deux mains. Enfin, sur le lit, face à face, mais après m’avoir pliée en deux, les chevilles croisées sous ma nuque. Dans cette position douloureuse, qui faisait appel à toute ma souplesse, il plongeait encore plus profondément dans mes reins. Ce tout en détectant sur mon visage toutes mes émotions, douleur quand il cognait trop fort dans mes entrailles, plaisir quand il manipulait tendrement mes tétons, souffrance quand il les pinçait et tordait méchamment. Il semblait ravi de voir mes traits se tordre et les larmes jaillir, mais il savait s’arrêter avant que ça devienne intolérable.
    
    Sentant la jouissance monter, il avait posé les mains sur mes mollets pour les écraser et me plier au maximum avant de sortir sa monstrueuse bite de mon pauvre anus complètement ruiné. Il était resté ainsi, la peau luisante, ruisselant de sueur qui s’écoulait sur mon corps avant d’imprégner les ...
    ... draps.
    
    — Alors, tu te sens comment, pas trop cassée ?
    
    — Si, j’ai mal partout. Tu m’as... Vous m’avez complètement détruit.
    
    — Et tu veux que j’arrête ?
    
    — Euh, non ! C’est... c’est vous qui décidez...
    
    — Je te demande ton avis, gronda-t-il.
    
    — Alors... Continuez, démolissez mon cul, cassez-le. Aah, mon Dieu...
    
    Il m’avait prise au mot et s’était rué de toute sa puissance d’un coup de reins d’une violence extrême. Je sentais qu’il y mettait toute sa violence, toute sa hargne. Son pelvis claquait fort contre mon bassin, je hurlai à chaque coup de boutoir, mon corps se disloquait alors qu’il accélérait encore.
    
    J’ai regagné mon lit dans un état second, incapable de passer sous la douche avant de m’écrouler sur ma couette et de m’endormir comme une souche. Je ne travaillais pas le samedi, aussi je pus dormir un peu plus. Je faillis hurler en me levant : mon ventre et plus particulièrement mon anus étaient en feu, Je pleurais en entrant dans la cuisine où papa buvait tranquillement un café. J’étais nue, bien sûr. Mais au lieu d’être à quatre pattes, je me tenais debout, un peu voûtée. Je m’approchai en trottinant, souffrant le martyre à chaque pas.
    
    — Bonjour, Alicia, bien dormi ?
    
    — Bonjour Monsieur. J’ai mal ! Je ne peux plus marcher tellement j’ai mal, pleurnichai-je.
    
    — Je t’avais prévenue, non ?
    
    — Oui, soupirai-je misérablement.
    
    — Tiens, prends ça, ricana-il en me tendant un tube blanc sans indication. File pommader ton cul. Dehors mais surtout ...
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