1. Alicia et son papa (4)


    Datte: 26/03/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... dedans. Ensuite, tu mettras ce plug pour la journée.
    
    Il me tendit un gros œuf en plastique noir sur une base renflée. Je l’examinai un instant, répugnant à admettre ce qu’il voulait que j’en fasse. Je levai une tête interrogative à laquelle il répondit :
    
    — Oui, tu le mets dans ton cul.
    
    — Mais... C’est gros !
    
    — Moins que ma bite ; il rentrera tout seul. Et sinon, tu forces.
    
    Quand je revins dans la cuisine, dix minutes s’étaient écoulées. J’avais conscience de marcher bizarrement, serrant les cuisses. La pommade, quoi qu’elle soit, avait calmé la douleur de mes muscles internes froissés, et mon anus avait avalé assez aisément l’engin ovoïde.
    
    — Tu l’as enfoncé ?
    
    — Oui. Oui Monsieur.
    
    — Bien. Alors, tu as quelque chose à faire le matin. Tu as déjà oublié ?
    
    Ah oui ! Je dois passer sous la table et lui tailler une pipe... Allez, vite ! C’est pas que je sois étourdie, mais cette nouvelle vie est tellement différente, tellement contraignante. Et j’ai intérêt à m’appliquer, à faire de mon mieux, parce que papa n’est pas du genre patient. Je n’ai pas envie de l’énerver de bon matin.
    
    Comme la veille, je me glissai entre les cuisses écartées de mon père. J’eus un choc : il ne portait pas de short ce matin, et il bandait comme un baudet. Je déglutis difficilement, prenant le temps d’admirer la gigantesque bite que j’allais sucer. Il voulait que je l’avale toute ? C’était sûrement impossible.
    
    Je saisis le tronc noueux, mes petites mains ...
    ... l’enserraient juste comme il fallait, et je léchai le gland après l’avoir décalotté, en commençant par glisser le bout de la langue dans le méat. Je récupérai quelques gouttes de liquide pré-éjaculatoire, puis aspirai la grosse prune pour la pomper vigoureusement. Papa me laissa faire plusieurs minutes avant de poser une main sur ma nuque pour me guider.
    
    Obéissante, j’acceptai jusqu’à forcer un peu ma luette, reculai et revins. Une poussée sur ma chevelure me conduisit à m’ouvrir, déglutissant frénétiquement pour accepter la colonne de chair. Puis mes lèvres touchèrent mes mains entourant la base. J’eus à peine la nausée cette fois, mais des larmes coulèrent sur mes joues rougies par l’effort. Papa bloqua ma tête et je restai en apnée, la langue caressante. Sur son ordre je déglutis plusieurs fois, ce qui précipita son orgasme. Contrairement à la veille, il me lâcha alors que des flots de sperme emplissaient ma bouche. J’essayai d’avaler mais pas assez vite : la semence m’étouffa, ressortit par mes narines, et je reçus les derniers jets dans les cheveux.
    
    Je reculai et me redressai, essoufflée, guettant la réaction de papa. Il me montra une robe de plage posée sur le plan de travail, à côté d’une paire de chaussures à talon compensé en liège.
    
    — Allez, tu enfiles ça et tu vas à la boulangerie acheter du pain et deux viennoiseries de ton choix.
    
    — Ah ! Je file me laver et j’y vais.
    
    — Tu y vas tout de suite comme tu es. Vite !
    
    — Mais... D’accord. Euh... Oui papa. Oui ...