1. C'est sympa comme village


    Datte: 26/03/2021, Catégories: fh, extracon, inconnu, vacances, amour, Oral pénétratio, Auteur: Juliano, Source: Revebebe

    ... copieusement, le gobe, folle de gourmandise. Je suis pétrifié, mais le plaisir est très intense ; je me retiens pour ne pas jouir, mais que c’est difficile avec cette femme sublime et inconnue qui me fait cadeau, sans retenue, d’une fichtre bonne fellation. Sa bouche est somptueuse, les lèvres sont épaisses et douces, elles enrobent merveilleusement mon sexe.
    
    Elle se relève au bout de quelques minutes, et dit :
    
    — Ne t’attarde pas aux préliminaires, j’ai besoin d’être prise sans plus attendre, je suis déjà toute mouillée !
    
    Elle me fait assoir cul nu sur une chaise plantée là, en plein milieu de la pièce. Elle soulève sa robe, baisse son string, et vient s’empaler à califourchon, sans plus attendre.
    
    Je suis estomaqué, gêné, mais en même temps terriblement excité. J’ai l’impression d’être d’une passivité incroyable, de délicieusement subir. Elle monte et descend tout doucement sur mon sexe, tout en se mordillant les lèvres. Son antre est chaud et humide à souhait. Je suis en plein rêve.
    
    J’étais venu pour une paire de baguettes, et me voilà en train de me faire besogner par la plus belle femme de la Terre dans une arrière-boutique. ...
    ... Elle accélère, me fait la pistonner plus vite, et me glisse à l’oreille :
    
    — Vas-y, bourre-moi plus fort, plus vite, oh oui, c’est bon mon champion, tu vas bien me faire jouir !
    
    Mais je n’ai rien fait moi ! Je suis là, timidement installé sur une chaise, à me faire quasi-violer par une femme sublime et sans retenue.
    
    — Pétris-moi le cul ! Défonce-moi ! J’vais prendre mon pied !
    
    Ses fesses entre mes mains que j’agrippe, ma queue qui pilonne de longues minutes, nos langues qui s’emmêlent à nouveau. Je jouis, je jouis, je jouis…
    
    Quelques minutes plus tard, elle m’ouvre la porte pour me libérer, elle m’embrasse une dernière fois, je suis dans la rue. Je sens les dernières gouttes de semence se répandre dans mon caleçon. J’allume une clope, et commence à remonter la côte qui mène à la villa. Je ne sais plus où je suis, complètement abasourdi par ce qu’il vient de m’arriver, j’ai les guiboles en coton.
    
    « Merde ! J’ai laissé les baguettes là-bas ! Quel con ! »
    
    Je souris béatement en pensant que je vais copieusement me faire insulter par ma bande.
    
    Je leur dirai que le rideau de la boulangerie était tiré, congé hebdomadaire oblige… 
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