C'est sympa comme village
Datte: 26/03/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
vacances,
amour,
Oral
pénétratio,
Auteur: Juliano, Source: Revebebe
... vous avais pas encore vu, vous n’avez pas eu besoin de pain les autres jours ?
— Disons que c’est mon ami Paul qui descendait en général. Je comprends mieux pourquoi il était toujours ravi de venir faire les courses seul…
— Ah oui, Paul est donc avec vous. Je dois vous confier qu’il m’a fait un peu la cour depuis que vous êtes arrivés.
— Ah le fripon ! J’avoue, ceci dit, que j’en aurais fait de même à sa place, vous êtes ébouriffante, sublime !
— Allons, n’en faites pas trop…
— Non, je vous assure, quand vous avez déboulé de l’arrière-boutique, ça a été comme une apparition, un fabuleux choc émotionnel.
— Merci, c’est très gentil… Ça fera 7 euros 20, s’il vous plaît…
— Tenez, dis-je en tendant fébrilement un billet de 10 euros.
Elle me jauge, sans mot dire, fait couler ma monnaie dans la soucoupe prévue à cet effet et dit :
— Puis-je vous poser une question ?
— Je vous en prie…
— Vous partez donc demain, m’avez-vous dit ?
— Oui, je confirme…
— Et vous êtes venu, euh, en couple ?
— ?… Oui, c’est exact.
— Et vous êtes de quelle région ?
— De Lille…
— Alors voilà, c’est bien simple : vous partez demain, vous ne reviendrez pas ici, on ne se reverra donc jamais, c’est parfait…
— ?
— J’ai une proposition à vous faire ; voilà, mon homme Hubert, vient de monter se coucher. Comme vous devez le savoir, les boulangers font la sieste, car ils se lèvent toujours aux aurores pour pétrir la pâte. Avant que vous n’arriviez, il avait plongé sa main dans ma culotte, ...
... et commençait à me titiller la pastille. Puis, tellement crevé qu’il s’est endormi avec les doigts dans mon antre. Je suis descendue, vous étiez là. Vous êtes plutôt bel homme, et mon mari m’a furieusement agacé la salle de jeu sans finir le travail. Souhaiteriez-vous le remplacer pour cette tâche ? En tout bien tout honneur, et toute discrétion bien sûr…
— Ahbeubeu, ahbeubeu…
— Très bien ! Je prends ça pour un oui !
Et sur ce, elle ferme la porte de la boulangerie à clé, m’entraîne dans la pièce du fond, et m’embrasse sur la joue en me serrant tendrement la main. Je n’ose bouger, pétrifié, comme un petit garçon qui s’est fait prendre la main dans le sac. Elle m’embrasse déjà à pleine bouche, baiser auquel je réponds timidement, osant à peine poser mes mains sur ses hanches fines et merveilleusement dessinées.
Elle me prend alors par les poignets, et les dirige sur son magnifique cul. Je frissonne de partout, j’ai la chair de poule. Je n’ai jamais été si emprunté avec une femme, elle m’intimide incroyablement.
J’effleure ses fesses, alors qu’elle est déjà en train de me malaxer la tige à travers le bermuda. Sa langue dans ma bouche est d’une douceur incroyable. Sa salive a un arrière-goût de sucre vanillé. Sans que j’aie eu le temps de crier gare, elle a déjà descendu mon froc et mon caleçon, et me caresse tendrement le chibre et les testicules.
Puis elle s’agenouille là, au milieu des fours, et enfourne d’un coup mon sexe dans sa bouche. Elle salive dessus ...