QUAND LES REVES DEVIENNENT REALITE
Datte: 22/03/2021,
Catégories:
Première fois
Auteur: razalgull, Source: xHamster
... en érection, droit, raide. Plein de promesses.
« descends vite de là !!!! »
Il saute à terre. Je lui arrache pratiquement sa chemise. Fini de baisser le pantalon, enlève ses chaussures, puis le pantalon. J'ai au niveau de mes yeux sa magnifique bite dressée et au dessus de moi, l'homme de ma vie entièrement nu.
Mes sens s'embrouillent. Mon cerveau bouillonne.
« oh et puis merde ! Après nous le déluge »
Et je lui saute au cou, me suspend, enserre mes jambes autour de ses reins. Ses deux mains me prennent sous les fesses, me soulèvent....
« empales moi ! Lentement ! Doucement ! Je veux te sentir tout du long ! Fais moi jouir ! Là, debout, maintenant. »
« tes désirs sont des ordres Sylvia... »
Avec lenteur, il m'aide a m'abaisser sur son sexe dressé. Je suis suspendue à son cou, et laisse aller.
Son gland se présente. Mon entrée laisse passer.
« Sésame ! Ouvres toi ! »
. Je sens son pénis remplir mon fourreau humide et chaud. Je souffle dans son cou en rentrant le ventre.
« putain ! J'avais jamais remarqué que tu semblais aussi long que ça ! »
Je le sens me remplir, gros, long.... Très gros, très long.... Chaud, très chaud.
Et me tenant sous les fesses, il commence à onduler du bassin, allant et venant en moi. Je hurle dans ma tête. Je crie dans ma tête. Je ne suis que fontaine.
«Pas jouir ! Pas maintenant ! Pas si tôt ! Encore un peu ! »
Mon esprit tente avec de moins en moins de réussite de lutter contre ce qui est en train ...
... d'irradier de partout. Autant lutter contre un tsunami. Et j'abandonne. Je laisse partir.
C'est une déferlante qui balaie mes dernières défenses. Je crie. Mon corps se cambre, se contracte. Je suis tétanisée. Je sue, je coule.
« PUTAIN QUE C'EST BON ! MAINTENANT !!! »
Mon orgasme atteint alors ce que je pense être la perte de contrôle complète. Dans un ultime soubresaut, mes mains agrippent les épaules, mes jambes se resserrent plus autour de la taille de mon amant.
Juste la possibilité dans un restant de conscience de penser
« putain que c'est bon, mais où vas-tu ? »
. La tête plantée dans le creux de Son épaule, je souffle en saccades. Je crie mon plaisir et n'entends aucun son.
Il me pénètre avec une extrême lenteur, exquise torture de mon corps et de mon esprit. Je sens mon sexe couler de tout son nectar, inondant mon entre jambes. Ce gode charnel tant de fois aimé, glisse dans mon doux fourreau.
Je suis comme greffée à Lui. Siamoise. Les mouvements de son bassin deviennent erratiques laissant présager la jouissance.
La concentration de sensations, brutalement, semble comme exploser en moi dispersant partout ; et tout aussi brutalement, comme une vague refluant je sens le déferlement de ce rouleau revenant et se concentrant dans mon bas ventre.
Le fracas dans mes entrailles. Dans de grosses contractions, j'accouche à cet instant du
« Big One »
des orgasmes. Simultanément, dans une dernière poussée en avant, dans les soubresauts de son ...