1. QUAND LES REVES DEVIENNENT REALITE


    Datte: 22/03/2021, Catégories: Première fois Auteur: razalgull, Source: xHamster

    ... c'est bon !!! »
    
    . Toutes mes terminaisons nerveuses semblent être connectées à mon clito et mon sexe... Je sens l'orage de mon plaisir venir de tout mon corps vers mon bas ventre...
    
    « oh putain que c'est bon !!! »
    
    Dans un souffle à l'oreille de Chris.
    
    [
    
    b]« arrêtes le cheval »
    
    Les mouvements s'arrêtent instantanément. Mes bras enlaçant Chris, le corps en feu inondé de sueur, mes seins écrasés contre son torse, le ventre creusé, la tête enfoncée dans le creux de l'épaule de mon homme, la bouche grande ouverte je tente de calmer mon corps et de reprendre mon souffle.
    
    Et petit à petit, telle une vague sur la plage, c'est le reflux. Ça repart d'où c'est venu.
    
    Dans mon dos je sens la main de Chris qui masse mes reins. Je lève la tête vers lui, offrant à sa vue mon visage inondé de sueur et de larmes, mes cheveux collés.
    
    « je t'aime, je t'aime et je t'aime ! »
    
    et je l'embrasse. Lorsque nos bouches se séparent, je pose de nouveau ma tête sur son épaule. Dans un souffle :
    
    « remet le cheval en marche s'il te plaît. »
    
    La main dans mon dos m'appuie un peu plus contre le torse de mon cavalier. Petit claquement de langue... et les mouvements reprennent ; a****l, cavalier, cavalière. Je sens de nouveau se former dans tout mon corps l'ondulation sourde de la vague. D'abord lointaine, lancinante. Et puis de plus en plus présente, prégnante. Au début ce ne ne sont que de petits mouvements d’expansions émanant d'endroits indéfinissables. Et puis, les vagues ...
    ... deviennent plus perceptibles et définissables. La température semble monter dans mon corps, comme pomper par les contractions de mes muscles.
    
    Et je sens au fond de moi comme une vague qui se charge en un énorme rouleau. Je suis agrippé à mon amant de toutes mes forces, les dents plantées dans le col de la chemise .
    
    Le cheval s'arrête.
    
    « on est arrivé !! »
    
    C'est a ce moment précis que ça se produit. Comme une énorme déferlante, non maîtrisable, qui se rue au travers de mes organes vers la plage de mon ventre, mon bas-ventre, les terminaisons nerveuses de mon clitoris, les pointes de mes seins. Entre mes jambes je coule littéralement. Plus rien ne commande et je crie dans le déchaînement de mon orgasme, mes bras lâchent prise. Je m'affaisse sur le pénis me transperçant, les bras ballants, le sexe en feu. Retenue par les bras de mon chéri.
    
    J'émerge enfin du brouillard, encore retenue par les bras accueillant de Chris.
    
    Le cheval est immobile à l'entrée du « balcon ».
    
    « plus jamais ça. Tu aurais pu tomber et te faire mal... et puis on est arrivé ! »
    
    J'affiche mon air penaud de petite fille prise en flagrant délit.
    
    « oui mon chéri. Promis... mais ta cheville me tient encore accrochée à toi !!! »
    
    « si tu veux en profiter … mais pas sur le cheval !!! »
    
    « alors ça ! Plutôt deux fois qu'une ! »
    
    Je me soulève de son pieu, passe mon pied dans un étrier, et descend du cheval, le sexe en feu. Toujours assis sur la selle, Chris présente un pénis toujours ...
«12...4567»